Sur Les 7 du Québec: Maurice, Al & le Chicago Climate Exchange
Maurice, Al & le Chicago Climate Exchange
Vérifiez ces informations et tirez vos propres conclusions.
Nous connaissons tous Al Gore. En surface. Par contre, beaucoup moins connaissent Maurice Strong. Nous devons savoir qui ils sont et quels sont les liens qui les unissent avec d’autres groupes et personnages pour comprendre d’où ils viennent et quelles sont leurs véritables motivations. Ensuite, il sera plus facile de comprendre la nature du lien que ces deux personnages, Al et Maurice, ont avec le Chicago Climate Exchange.
Maurice F. Strong
Maurice F. Strong, C.P., C.C., O.M., MSRC, né en 1929 au Manitoba, est un des principaux défenseurs de la participation des Nations Unies dans les affaires du monde. Il est vu par ses supporteurs comme étant un important leader environnementaliste. Il sera Secrétaire général de la Conférence des Nations Unies sur l’environnement et le développement de 1972, qui donnera naissance au mouvement environnementaliste mondial; et du Sommet de la Terre en 1992. Il sera aussi le premier directeur exécutif du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE). Maurice Strong a ainsi donc joué un rôle critique dans la mondialisation du mouvement environnemental.
Il n’est pas né dans le privilège, mais il sera cultivé par David Rockefeller qui le rencontra alors qu’il avait 18 ans, alors que Maurice s’était trouvé un travail d’assistant dans la section de la Sécurité des Nations Unies. Un an plus tard, il deviendra un analyste en investissements et à 25 ans, il sera vice-président de Dome Petroleum. À 31 ans, remarqué pour son succès dans le domaine du pétrole, il deviendra le président de Power Corporation of Canada.
En 1976, à la requête du Premier ministre Pierre Trudeau, Strong prendra la tête de Pétro-Canada et Hydro-Ontario. Il fera quelques affaires dont l’acquisition de la Colorado Land & Cattle Company, en 1978, qui était alors la propriété de 200,000 acres dans la vallée de San Luis, au Colorado. Il l’achètera du vendeur d’armement saoudien Adnan Khashoggi. (Source)
Le canadien Maurice Strong, homme qui fait peu les manchettes, deviendra ainsi un puissant, oxymorique milliardaire socialiste qui remplira de nombreuses autres fonctions au cours de sa vie dont celles-ci:
- Conseiller spécial du Secrétaire général de l’ONU sous Kofi Annan;
- Conseiller sénior du Président de la Banque Mondiale;
- Directeur de la Fondation du Forum Économique Mondial, qui est à l’origine des Sommets de la Terre, d’où vient la théorie du réchauffement climatique causé par le CO2 engendré par l’activité humaine;
- Secrétaire général de la Banque Mondiale;
- Directeur de la Fondation Rockefeller.
- Il est un membre important des Bilderberg, de la Commission Trilatérale, du Council on Foreign Relations (CFR)et du Club de Rome. C’est au sein du dernier que sera forgé l’Agenda 21, un ensemble de principes pour aiguiller le monde sur le chemin du développement durable et un programme d’action pour les implémenter.
La Commission Trilatérale est une organisation privée qui fut créée en 1973 à l’initiative des principaux dirigeants du groupe Bilderberg et du Council on Foreign Relations, parmi lesquels se trouvent David Rockefeller, Henry Kissinger, Paul Volcker et Zbigniew Brzezinski. (Source)
- Il est un des leaders du mouvement Nouvel-Âge et des gens comme les Kissinger, Mc Namaras et Rothschild visitent sa communauté spirituelle Baca, située dans la Vallée de San Luis au Colorado.
- Président de Strovest Holdings, président et directeur de Technology Development Corp, directeur du Forum économique mondial (Davos) et directeur du Conseil de la Terre.
- Vice-président du World Wildlife Fund (WWF);
- Participant à la Commission sur la gouvernance globale de l’ONU qui débouchera sur le rapport final nommé Our Global Neighborhood (Notre voisinage global).
Maurice Strong a maintenant joint Brian Mulroney et Paul Desmarais dans le groupe Asia Power Group qui a 100$ millions investi dans des projets de petites centrales électriques au charbon construites dans le sud de la Chine. Ils sont en train de considérer de plus grands projets dans le nord de la Chine, en Malaisie, aux Philippines et en Inde.
Albert Arnold “Al” Gore, Jr.
Plus connu sous le nom d’Al Gore, né en 1948 à Washington, aux États-Unis, il est un homme politique et homme d’affaires. Il a été membre de la Chambre des représentants de 1977 à 1985, sénateur du Tennessee de 1985 à 1993 et vice-président de Bill Clinton de 1993 à 2001. (Source)
Al Gore est co-fondateur de Current TV, un membre du comité de directeurs de Apple Inc. et un conseiller sénior pour Google.
Al Gore s’est joint à un groupe de capital-risque nommé Kleiner Perkins Caufield & Byers. La firme a effectué des investissements de 500$ millions dans la firme de technologies vertes Green Growth Fund et le groupe a annoncé un autre 700$ millions qui seront investi sur les prochaines années dans ce même domaine. Il est fondateur et directeur de Alliance for Climate Protection et en 2004, le co-fondateur de Generation Investment Management (LLP), un fond d’investissement (Hedge Fund) basé en Angleterre, avec David Blood, ancien chef exécutif de Goldman Sachs Asset Management. La firme vise à investir dans le domaine des technologies et solutions “vertes” pour combattre de réchauffement climatique et dans le marché des échanges des crédits sur le CO2.
Ainsi, l’ancien vice-président Al Gore a bâti une machine verte capable éventuellement de générer des milliards de dollars pour les investisseurs, incluant lui-même. Mais le minimum pour investir est tellement élevé que ce n’est pas Joe six-pack qui peut jouer selon les termes de Gore. Al Gore paye son extra-large emprunte de carbone à travers son fond d’investissement Generation Investment Management (GIM). Si vous voulez devenir plus “vert” et que vous voulez que votre porte-feuille soit avec Gore, pensez-y encore, car les gens de la moyenne sont trop insignifiants pour jouer.
Generation is based in London, with its U.S. offices in Washington, DC. The firm will manage the assets of institutional investors such as pension funds, foundations and endowments, as well as those of select high net worth individuals.* Generation expects to make extensive use of long-term performance based fees. Generation will begin its investment management business in early 2005. *Comme Al Gore
Vous trouverez ici une liste indiquant ce que ça prend pour faire de l’argent avec Al Gore. Les fonds associés à ces compagnies ont été placés sous le contrôle de Gore.
AFLAC INC - AQUANTIVE INC - AUTODESK INC - BECTON DICKINSON & CO BLACKBAUD INC - GENERAL ELECTRIC CO - GREENHILL & CO INC - JOHNSON CTLS INC - LABORATORY CORP AMER HLDGS - METABOLIX INC - NORTHERN TR CORP - NUVEEN INVTS INC -STAPLES INC - SYSCO CORP - TECHNE CORP - UBS AG - VCA ANTECH INC - WATERS CORP - WHOLE FOODS MKT INC
Selon leurs propres documents, GIM a l’intention d’investir, ou d’acheter des compagnies qui sont destinées à profiter des soucis à propos du réchauffement climatique. La compagnie de Gore, GIM, a été spécifiquement établie pour profiter financièrement de nouvelles technologies et solutions combattants le réchauffement climatique.
Le Chicago Climate Exchange (CCX)
En Amérique, il existe seulement un marché d’échange des émissions de carbone qui est opérant et il s’agit du Chicago Climate Exchange (CCX). Par pure coïncidence, ou pas, le fond d’investissement d’Al Gore (Generation Investment Management) est le plus grand actionnaire du CCX. Maintenant, parlez-moi d’un conflit d’intérêts! L’alarmiste le plus bruyant à propos du réchauffement climatique est le plus large actionnaire du seul marché du carbone opérant en Amérique! Sur le conseil du CCX siège aussi notre vieil ami Maurice Strong.
Vers la fin de 2007, les Nations Unies ont tenu une conférence à Bali dans l’intention de formuler un Traité sur les changements climatiques possédant une force légale internationale pour remplacer le Protocole de Kyoto. Ce Traité se traduira certainement par un mandat sur l’instauration d’un système global sur les échanges du carbone et possiblement d’une taxe sur le carbone. Tout ceci semble servir l’implémentation des directives de l’Agenda 21 du Club de Rome.
Même si le réchauffement climatique était vraiment causé par le CO2, en principe, quelle est la différence entre profiter de la guerre et de cela? Si la motivation de Maurice & Al de pousser l’histoire du réchauffement climatique est si altruiste, était-il vraiment nécessaire pour ces deux riches d’établir une compagnie de plus millions de dollars en Angleterre et d’investir massivement dans le CCX pour faire de l’argent? Si Al Gore remporte du succès avec son dernier coup, lui et ses amis seront beaucoup plus $vert$ que le reste de la planète.
Alors, si le climat se refroidit et que la thèse du CO2 tombe, il n’y aura pas de retour sur ces volumineux investissements. Ces investissements ne seraient pas nécessaires si le réchauffement climatique n’était plus une menace. Conséquemment, Gore a lancé une massive campagne de publicité l’an dernier, de 300 millions de dollars pour nous convaincre qu’IL Y A MENACE. Ce n’est plus une question de science, mais seulement de CONVAINCRE.
Al Gore et Maurice Strong sont en sérieux conflit d’intérêts car ils se positionnent pour profiter des taxes sur le carbone et des « solutions vertes » qu’on va tous nous imposer, comme ces bulbes incandescents qu’on va bannir au Canada, remplacés par les lampes LFC qui contiennent du mercure et des isotopes radioactifs. Le nouveau pouvoir que les gouvernements et les institutions internationales vont gagner sous le prétexte de lutter contre le réchauffement global va servir par ricochet à enrichir des compagnies qui se donnent et donnent bonne conscience en vendant des fausses solutions vertes.
Al Gore dit à des enfants de ne pas écouter leur parents
Le 19 janvier dernier, Al Gore donnait une conférence à l’Université du Maryland, aux États-Unis, à des enfants de 12 ans. Il expliquait aux enfants: “Il y a certaines choses que vous savez que les personnes plus âgées ne savent pas”; “que vous savez plus que vos parents ce qui est vrai” et “vous n’avez pas à écouter vos parents à propos de choses qu’ils ne connaissent simplement pas”. Il est en train de monter les enfants de sa nation contre leurs parents. Quels autres régimes de l’histoire ont utilisé les jeunes pour les mouler selon les croyances du jour? Les soviétiques, les nazis, le régime de Mussolini? C’est les questions que ce posait l’animateur de radio américain, Glenn Beck. (Pour entendre cette histoire, cliquez sur la partie 1 et 2)
Aurons-nous droit à la nouvelle garde, mais les “chemises vertes” cette fois?
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