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L'Autre Monde 4 décembre 2013 : Assassinat de JFK et les armes nucléaires d'Israël
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L'Autre Monde 4 décembre 2013
90 min / Radio de l'UQAM, CHOQ FM
Au programme cette semaine:
Nous abordons la situation radioactive de Fukushima et surtout, nous vous présentons un dossier fort intéressant à propos de l'assassinat de John F. Kennedy et le lien avec le dossier de l'armement nucléaire d'Israël et le Mossad. À ne pas manquer, informations rarement rapportées à l'audience francophone...
***Hyperliens vers les sources des informations discutées sur l'émission d'aujourd'hui:
THOUGHT FOR THE DAY!
"That's
all the media and the politicians are ever talking about, the things that
separate us, things that make us different from one another. That's the way the
ruling class operates in any society. They try to divide the rest of the
people. They keep the lower and the middle classes fighting with each other so
that they the rich, can run off with all the fucking money. Fairly simple
thing. Happens to work. You know, anything different, thats what they gonna
talk about. Race, religion, ethnic and national backgrounds, jobs, income,
education, social status, sexuality. Anything they can do, keep us fighting
with each other so that they can keep going to the bank. You know how I
describe the economic and social classes in this country? The upper class keeps
all of the money, pays none of the taxes. The middle class pays all of the
taxes, does all of the work. The poor are there just to scare the shit out of
the middle class. Keep them showing up at those jobs." -- George Carlin
dimanche 13 septembre 2009
L'arsenal nucléaire israélien au centre de la guerre
secrète entre JFK et Israël
L'impasse des
relations israélo-étatsuniennes sous JFK a rendu fou de rage le PM d'Israël
Ben-Gourion, à un point tel qu'il quitta subitement son poste de premier
ministre.
Pour Ben-Gourion, la bombe nucléaire israélienne était littéralement
"sainte", sacrée. C'est l'objet de culte par excellence, le Saint des
Saints d'Israël.
Par ailleurs, des documents récemment déclassifiés révélent que JFK cherchait à
forcer
l'American Zionist Council à s'inscrire au registre
des agents étrangers
(voir la vidéo - émission entière). Bien sûr, après sa mort, Lyndon Johnson laissa tomber
cette requête.
Très peu de gens sont au courant de la guerre secrète opposant Israël et JFK.
Ce qui explique pourquoi Ben-Gourion n'est jamais identifié comme étant
l'instigateur de la conspiration visant à faire assassiner le président JFK.
Bien sûr, le film d'Oliver Stone sur JFK mentionne toutes les connexions
possibles (hispanique, cubaine, mafia italienne, FBI, CIA, etc.)... sauf la
piste du Mossad israélien qui est pourtant évidente, surtout lorsqu'il est
question de Permindex, de Clay Shaw ou de Jack Ruby (lire le texte ci-dessous
pour plus de détails, ou mieux encore lire le livre --ou le ebook-- de Piper). Faut-il blâmer Stone... ou bien son
producteur Arnon Milchan, qui est aussi en l'occurrence l'un des plus
grands trafiquants d'armes d'Israël de même que l'un des principaux responsables
du développement du nucléaire israélien?
Et pour ceux qui se demanderaient si la mort de son fils John Kennedy Jr.
aurait un lien avec sa volonté de rouvrir l'enquête sur l'assassinat de son
père: pour cause, le crash de l'avion de JFK Jr. a été considéré dès le départ
comme un homicide par les enquêteurs...
par Mark Dankof
Les médias de nouvelles américains, pour toutes les raisons habituelles et
les plus évidentes, ont systématiquement ignoré la nouvelle la plus explosive
depuis des années, rendue d'autant plus pertinente par le compte à rebours
menant à un nouveau conflit au Moyen-Orient alors que des rumeurs crédibles
continuent à émerger comme quoi Israël et les États-Unis planifient un acte de
guerre préventive contre l'Iran dans les mois à venir.
La nouvelle, qui figurait dans l'Express Newspapers of India le lundi 26
juillet, cite le dénonciateur nucléaire israélien Mordecaï Vanunu attribuant
au Mossad israélien l'assassinat du président Kennedy. Encore plus
incroyable, Vanunu affirme expressément que le motif du gouvernement israélien
dans l'assassinat de Kennedy était lié à l'insistance du président américain
pour que l'État sioniste soit honnête et transparent sur son programme
nucléaire à la centrale de Dimona dans le fameux désert du Néguev.
Vanunu a été libéré en avril par les autorités israéliennes après 18 ans de
prison pour trahison liée à la divulgation de secrets d'État concernant le
programme nucléaire israélien. Sa sensationnelle accusation publique sur
l'implication du Mossad dans l'assassinat de Kennedy pourrait tout simplement
être rejetée comme étant le propos d'un homme mécontent ou déséquilibré, à
l'exception d'un autre point.
Michael Collins Piper, l'auteur de "Final Jugement: The Missing Link
in the JFK Assassination Conspiracy" (Jugement définitif : le chaînon
manquant dans la conspiration pour l'assassinat de JFK -- aucune traduction
française disponible présentement), avait déjà présenté une explication
concernant la participation directe d'Israël dans l'assassinat de John Kennedy
à Dealey Plaza le 22 novembre 1963, qui est à la fois plausible et
convaincante. Le témoignage de Vanunu vient simplement souligner et corroborer
l'explication que Piper a présenté il y a une décennie. La convergence des
thèses de ces deux hommes est extrêmement inquiétante.
Piper apprend au lecteur de Final Judgment que 1963 s'est avérée être une
année pivot dans un conflit jamais révélé publiquement opposant le 35e
Président des États-Unis et le Premier ministre israélien David Ben Gourion,
principalement sur le refus d'Israël de soumettre son opération de Dimona à
l'inspection de l'agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), et
accessoirement d'arriver à une entente avec les Palestiniens. Il discute
ensuite des principaux acteurs présumés du complot d'assassinat lui-même,
corroborant les recherches des chercheurs respectés de l'assassinat de Kennedy
tels Anthony Summers du Royaume-Uni et le professeur Jim Marrs de l'Université
du Texas. Les lecteurs des travaux de Summers et Marrs sont intimement
familiers avec des noms comme Sam Giancana, Johnny Roselli, Carlos Marcello,
Guy Banister, William Harvey, William Sullivan, George de Mohrenschildt, James
Jesus Angleton, Richard Helms, Alpha 66, et Santos Trafficante. Typiquement,
les liens démontrés de ces individus avec les syndicats du crime organisé, avec
la communauté des cubains anti-castristes exilés au début des années 1960, et
avec un élément de l'Agence centrale de renseignement impliquée dans les deux
premiers groupes, a abouti à des conclusions provisoires comme quoi le nœud du
complot contre Kennedy impliquait une convergence d'intérêt de ces trois (3)
constituants clés impliqués dans un triumvirat sordide délibérément caché au
public américain il y a 40 ans par la Commission Warren.
Piper ne discrédite aucunement cette conclusion de ses prédécesseurs sur
les circonstances ayant conduit certains individus à participer dans un complot
pour assassiner le Président. Il démontre simplement ce qui a été caché jusqu'à
aujourd'hui: que ceux identifiés par la recherche universitaire méticuleuse
de Summers, Marrs, et d'autres, ont même des associations démontrables avec le
lobby israélien et les services de renseignements israéliens.
La thèse de Final Judgment à cet égard est principalement construite
sur l'importance clé de Meyer Lansky en tant que véritable acteur
d'importance dans le crime organisé américain des années 1950 et 1960, le
supérieur de Giancana, Roselli, Marcello, Mickey Cohen, Mickey Weiner, Moe
Dalitz, Frank Costello, et d'autres mentionnés précédemment en tant que
participants au complot contre Kennedy. À son tour, le rôle de Lansky en
tant que sioniste engagé et leveur de fonds pour l'État d'Israël impliquait
des liens directs et palpables entre son empire criminel, ses banques de Miami
et la Banque de Crédit international (BCI) à Genève, en Suisse. Cette
dernière entité a été le centre européen de blanchiment d'argent pour les
activités mondiales M. Lansky. BCI, à son tour, a été dirigée par un banquier
israélien, le rabbin Tibor Rosenbaum, ex-directeur des Finances et de
l'approvisionnement pour le Mossad israélien. Piper démontre ensuite que la
BCI est un actionnaire principal dans une société basée à Rome appelée CMC/Permindex,
dont le président du conseil d'administration était nul autre que Louis M.
Bloomfield de Montréal (Canada), un important collecteur de fonds pour
Israël et opérateur connu du renseignement israélien. CMC/Permindex, à son
tour, se révèle être l'un des principaux points d'intersection qui met le
mystérieux Bloomfield en contact direct ou indirect avec Clay Shaw
(la principale cible de l'enquête de Jim Garrison à New Orleans), Guy
Banister, James Jesus Angleton, le chef de la section 5 du FBI William
Sullivan (qui a dirigé l'enquête du FBI pour la Commission Warren et a
servi comme agent de liaison du FBI et ami d'Angleton), l'ex-président cubain Carlos
Prio Socarras (un trafiquant d'armes avéré partenaire d'affaires de
l'assassin d'Oswald Jack Ruby), Ernest Israël Japhet (directeur
et président de la Banque israélienne Leumi), Shaul Eisenberg (un
personnage clé dans le développement de la bombe nucléaire d'Israël et
participant avec Rosenbaum dans la banque d'échange Suisse-israélienne), les
éléments de l'Organisation Armée Secrète (OAS) nationaliste française, l'agent
de la CIA Théodore Shackley (le chef de la station de la CIA à Miami au
moment du plan de la CIA-Lansky pour assassiner Fidel Castro), et Abe
Feinberg, un homme d'affaire juif de New York employé par Ben Gourion
comme agent de liaison pour des réunions secrètes avec le président Kennedy
dans le but de régler le différend des deux partis au sujet de Dimona. C'est
donc les liens et les acteurs BCI et CMC/Permindex que Piper emploie pour
montrer que les joueurs, les alliances et les actifs ont été fermement en place
pour amener ceux qui ont les motifs, les moyens et l'occasion réunis dans un
complot qui a abouti à Dallas.
Secondairement, Piper renforce sa thèse en montrant quels ont été les
résultats pour Israël à la suite de la tragédie de Dallas en novembre 1963. La
suppression de Kennedy a mis un terme aux exigences américaines pour
l'inspections du programme nucléaire israélien par l'AIEA et l'accession à la
Maison Blanche de Lyndon Johnson, dont les liens de longue date à Meyer
Lansky et Carlos Marcello avaient aidé le jeune va-nu-pieds du Texas Hill
Country lors de son arrivée au 1600 Pennsylvania Avenue. Plus important encore,
l'arrivée de Johnson dans le bureau ovale représenté un changement radical dans
la politique américaine au Moyen-Orient, établissant selon Piper la direction
"Israel d'abord" adoptée par chaque sous-secrétaire d'État à partir
de LBJ, au détriment de l'indépendance du gouvernement américain face à
l'influence indue du lobby israélien, du maintien de la paix régionale et de la
stabilité dans la zone la plus dangereuse du globe, et tout vestige d'espoir de
bonnes relations politiques américaines avec le monde islamique.
Les allégations de Vanunu-Piper relatives à Israël ne
vont pas soudainement disparaître.
The Vanunu-Piper allegations?
Who killed Kennedy: CIA, LBJ, or the Truly
"Unspeakable"?
(L'article de voltairenet.org réfère au livre de Piper sur JFK)
Mort de JFK : les théories du complot, toujours en vogue
aux États-unis (et autres petits complots…) Articles des Moutons Enragés repris par le National
Émancipé d'un article publié sur alterinfo sur le Mossad et l'assassinat de
JFK.)
JFK, Oswald,
Ruby, the CIA and the Mossad So far the preeminent
research on Israeli involvement is Michael Collins Piper's Final Judgement. ...
Was Israel
involved in JFK Assassination? Book Review by John
Friend
Mordechai
Vanunu: Israel Killed Kennedy, by Andrew Anglin
Daily Stormer, Nov 22, 2013
On 50th Anniversary of JFK Death,
Iran’s PressTV Blames Israel (PressTV a publié un article de
Kevin Barrett qui réfère au livre de Piper)
Assassinat de
Kennedy:pourquoi Israël veut à tout prix une guerre?
par le citoyen engagé
Commentaire: Certains aspects de cet article laissent à désirer. Notamment l'
"avertissement" de Eisenhower n'a rien dit de nouveau et même que le
concept même de "complexe militaro-industriel" nous égare dans la
mesure où il ne dit pas qui contrôle ce complexe. Ce concept fausse la réalité
en omettant de souligner que c'est avant tout un complexe
médiatique-financier... contrôlé par la juiverie sioniste mondialiste! Les
hauts militaires s'opposaient à la guerre en Irak et c'est des agents des
Bronfman qui les ont fait éjecter de leur poste! Et les compagnies de pétrole
étaient amis avec les dynasties Arabes pétrolifères et préfèrent de loin faire
des affaires dans la stabilité de la paix que dans le chaos de la
guerre... Voilà un exemple du fait que c'est pas un complexe militaire et
industriel qui est derrière la guerre en Irak!
Quant au discours de JFK sur les sociétés secrètes, c'était un discours très
commun contre le COMMUNISME à l'époque! Bref, peut-être que dans sa tête il
pensait à l'ennemi comme étant autre que le communisme, mais dans la réception
de ce discours, tout le monde a compris qu'il parlait de la menace communiste
soviétique. J'espère que vous vous souvenez de la guerre froide et de la
propagande anti-soviet sur le "complot communiste", chers amis!
Ce qui est vraiment significatif, c'est de constater à quel point certains
auteurs font des pieds et des mains pour ignorer la piste israélienne dans
l'assassinat de JFK! Certains auteurs hautement respectés en tant que
chercheurs de l'assassinat de JFK tels que Peter Dale Scott n'osent même pas
s'y approcher!
Voyez, de nouvelles infos émergent sur le blog d'un Canadien nommé Maurice
Philipps, qui viennent confirmer que Michael Collins Piper avait raison de voir
un lien entre la juiverie sioniste et l'assassinat de JFK. Piper vient d'écrire
un article à ce sujet:
http://pascasher.blogspot.com/2013/11/les-rothschild-et-lassassinat-de-jfk.html
http://leschroniquesderorschach.blogspot.fr/2013/11/assassinat-de-kennedy-la-connexion.html
samedi 23 novembre 2013
Assassinat de Kennedy : La connexion sioniste
En 1963, l'intérêt
principal de JFK à Dallas était de collecter de fonds auprès de l'élite de
Dallas, et cela signifiait que les riches démocrates juifs pro-Israël qui
étaient les principaux anges financiers du Parti démocratique là-bas. Et
puisque JFK était, à cette époque, en désaccord avec Israël sur son programme
d'armes nucléaires, il est de la plus haute importance de comprendre la manière
dont JFK a été leurré pour qu'il se rende à Dallas et de savoir qui était en
charge du régime qui a réellement facilité son assassinat. Et s'il est bien
connu que le bras de Dallas qui a payé le voyage de JFK au Texas était parrainé
par le Conseil des citoyens (CC), le groupe d'affaires d'élite qui a gouverné
Dallas, il est est beaucoup moins connu que la preuve a été faite comme quoi
deux des trois personnages clés qui dominaient la CC étaient des juifs, non pas
des «WASPs» comme le suggère la légende de Dallas. Ce sont les gens qui
dirigeaient réellement Dallas, pas les conservateurs affilié à la John Birch
Society, comme le vieux mythe le laisse entendre.
Les moyens par lesquels l'élite Dallas a pris le contrôle
de l'agenda de voyage de JFK à Dallas est intéressant. Puisque le voyage de JFK
à Dallas était officiellement désigné comme étant «non politique», contrairement
à d'autres arrêts au Texas comme Houston et Austin qui ont été désignés comme
«politiques», les entités privées qui payaient son voyage à Dallas ont pris le
contrôle de la planification (la retirant des mains du Comité national
démocrate contrôlé par JFK). Le CC a désigné un "comité d'accueil."
Le président de CC était le leader et représentant en relations publiques de la
communauté juive de Dallas, Sam Bloom, directeur exécutif de longue date de la
CC, de même que --rétrospectivement-- l'un des moins connus mais plus influents
acteurs de l'histoire mondiale.
Il y a eu confrontation immédiate entre Bloom, qui
représente l'élite de Dallas, et Jerry Bruno, le représentant vétéran de JFK.
Bruno voulait que le Président parle au bâtiment des femmes (Women's Building),
mais les dirigeants de Dallas ont insisté que JFK devait prendre la parole au
Trade Mart. Bien que Bruno ait combattu longuement et durement, après beaucoup
de pression, la décision de l'élite de Dallas a prévalu, ce qui a amené les
loyalistes JFK à commenter que "ce fut l'un des quelques combats de ce
type que j'aie perdu. Sur des affaires comme celle-ci mon choix était
habituellement adopté. Cette fois il ne l'a pas été. "
En forçant JFK à prendre la parole au Trade Mart, l'élite
de Dallas a fait en sorte que le cortège de JFK prenne le chemin désormais
tristement célèbre en «patte de chien» qui devait l'amener tout droit vers le
classique "angle mort", "préféré des tireurs d'élite", sur
Elm Street, juste en dessous de la réserve de livres d'école du Texas (Texas
School Book Depository, TSBD), d'où le présumé assassin, l'employé de TSBD Lee
Harvey Oswald, aurait tiré les coups de feu mortels, comme il a été affirmé
plus tard. La zone se trouvait était également à portée de la butte
"d'herbe" et du Dal-Tex Building situé tout près, où les
investigateurs de l'assassinat situent les tireurs d'élite. Si la décision du
représentant de JFK avait prévalu comme d'habitude, JFK (sur son chemin vers le
lieu de prédilection) aurait passé en voiture deux rues plus loin de la zone de
tir du TSBD et beaucoup plus vite.
Bien que les services secrets se soient opposés (pour des
raisons de sécurité) à la publication du trajet de la voiture de JFK, Bloom (le
représentant de l'élite de Dallas) a néanmoins fait en sorte qu'une carte de
l'itinéraire soit publié à plusieurs reprises dans les journaux de Dallas. De
sorte que, plus tard, lorsque le bouc émissaire était en garde à vue, il y a
avait une explication plausible du fait qu'il ait su que JFK passerait tout
près de son lieu de travail.
Le fait que l'assassin a très probablement tiré sur JFK à
partir du bâtiment de Dal-Tex est des plus pertinent dans l'étude de la
connexion israélienne. Co-propriété de David Weisblat, un bailleur de fonds important
pour le lobby israélien de la Ligue anti-diffamation, le bâtiment Dal-Tex
abritait, sur plusieurs étages, un certain nombre d'entreprises qui utilisaient
le numéro de téléphone de Morty Freedman, un avocat, fabricant de vêtements et
militant pour des causes juives. Sachant que JFK s'efforçait à stopper le
programme d'armes nucléaire d'Israël -- qui a reçu de l'uranium de contrebande
de la part des États-Unis -- il est intéressant de noter qu'une firme de
Dal-Tex liée à Freedman était la Dallas Uranium & Oil Company. Il est
également curieux que l'un des partenaires d'affaires de Freedman relié à
Dal-Tex était Abe Zapruder, le fabricant de robe juif qui a filmé l'assassinat
et en a grandement profité. Aujourd'hui, des gens pensent que Zapruder avait une
connaissance préalable de l'assassinat.
Une fois l'accusé assassin mis en garde à vue, c'était
--vous l'aurez deviné-- Sam Bloom, qui avait déjà poussé JFK dans la zone
d'assassinat, qui a ensuite fait pression sur Elgin Crull, le maire de la
ville, pour qu'il presse en retour le chef de police de Dallas Jesse Curry de
rendre Oswald accessible à la presse et de l'emmener publiquement du poste de
police de Dallas à la prison municipale. Ainsi, la situation était en place
pour que Jack Ruby puisse le tuer. Plusieurs sources, y compris un agent du FBI
à Dallas Hosty James, ont déclaré que Bloom et ses partisans étaient le moteur
derrière tout ça. Lorsque la police a fouillé la résidence de Ruby, ils ont
trouvé un bout de papier avec le nom de Bloom, son adresse et numéro de
téléphone.
C'est ainsi que le mythe de Dallas meurt de sa belle
mort. Ce sera douloureux pour ceux qui ont pensé que la ville était un bastion
anti-juif, mûr pour une révolution nazie. Au lieu de cela, Dallas était en fait
un avant-poste pour la promotion des intérêts d'Israël comme c'est toujours le
cas de nos jours.
Publié
par Rorschach à 00:22
(Note – The second item below is a letter from JFK to Israeli Prime Minister
Eshkol which makes it crystal clear JFK did NOT want the Jewish state to
develop nuclear weapons and that he was demanding regular US inspections of the
Dimona Nuclear facility…which, as we now know, was/is used to develop Israel’s
enormous inventory of atomic and thermonuclear weapons. The US Air Force white
paper regarding past and ongoing Israeli thermonuclear blackmail of the US is a
stunning look at how Zionism has exerted such staggering domination over the US
for decades. -ed)
(Note – The second item below is a letter from JFK to Israeli Prime Minister
Eshkol which makes it crystal clear JFK did NOT want the Jewish state to
develop nuclear weapons and that he was demanding regular US inspections of the
Dimona Nuclear facility…which, as we now know, was/is used to develop Israel’s
enormous inventory of atomic and thermonuclear weapons. The US Air Force white
paper regarding past and ongoing Israeli thermonuclear blackmail of the US is a
stunning look at how Zionism has exerted such staggering domination over the US
for decades. -ed) After reading: “New JFK Assassination Theory” from WND, it is
obvious that it is just more dis-information diverting attention away from the
more than likely perpetrators, the Mossad. It’s only fair to remind or inform
your readers of the theory posed by Michael Collins Piper in ‘Final Judgment’.
His theory makes more sense than anything. Final Judgement Reviewed by Mark
Braver There seems to be a lot of misperception of what Final Judgment does and
does not say about the JFK assassination. The book does not say that “the Jews
killed JFK.” That’s horse manure. What the book does say is that: When New
Orleans District Attorney Jim Garrison charged businessman Clay Shaw with
participation in the JFK assassination conspiracy Garrison stumbled upon the
Israeli Mossad connection to the murder of President Kennedy. Shaw served on
the board of a shadowy corporation known as Permindex. A primary shareholder in
Permindex was the Banque De Credit International of Geneva, founded by Tibor
Rosenbaum, an arms procurer and financier for the Mossad. What’s more, the
Mossad-sponsored Swiss bank was the chief “money laundry” for Meyer Lansky, the
head of the international crime syndicate and an Israeli loyalist whose
operations meshed closely on many fronts with the American CIA. The chairman of
Permindex was Louis M. Bloomfield of Montreal, a key figure in the Israeli
lobby and an operative of the Bronfman family of Canada, long-time Lansky
associates and among Israel’s primary international patrons. In the pages of
“Final Judgment” the Israeli connection to the JFK assassination is explored in
frightening–and fully documented–detail. For example, did you know: * That JFK
was engaged in a bitter secret conflict with Israel over U.S. East policy and
that Israel’s prime minister resigned in disgust, saying JFK’s stance
threatened Israel’s very survival? * That JFK’s successor, Lyndon Johnson,
immediately reversed America’s policy toward Israel? * That the top Mafia figures
often alleged to be behind the JFK assassination were only front men for Meyer
Lansky? * That the CIA’s liaison to the Mossad, James Angleton, was a prime
mover behind the cover-up of the JFK assassination? Why didn’t Oliver Stone, in
his famous movie “JFK” not mention any of this? It turns out the chief
financial backer of Stone’s film was longtime Mossad figure, Arnon Milchan,
Israel’s biggest arms dealer. The very fact that the Israeli lobby has gone
through such great lengths to try to smear Michael Collins Piper and to try to
discredit Final Judgment gives the book great credibility. If the book was
really so silly or so unconvincing, it doesn’t seem likely that groups such as
the Anti-Defamation League would go out of their way to try to suppress the
book as they have. The fact is that Piper demonstrates that Israel did indeed
have a very strong motive to want to get JFK out of the way and that numerous
people who have been linked in other writings to the JFK conspiracy were (as
Piper documents) also in the sphere of influence of Israel’s Mossad. Not only
Clay Shaw in New Orleans, but also James Angleton at the CIA, who was Israel’s
strongest advocate at the CIA and also the CIA’s liaison to the Mossad. The
Israeli connection is indeed “the missing link in the JFK assassination
conspiracy.” The “Reader from Chicago” who wrote the review of Final Judgment
posted here is really off the beam and I suspect he (or she) is deliberately
distorting what Piper’s book does say in order to try to discourage people from
reading it. The fact is that Piper’s book documents (quite clearly, in my
estimation) not only the means, opportunity and the motive for Israeli Mossad
involvement in the assassination (working in conjunction with the CIA), but it
is also quite fascinating and very interesting read. “Boring” is the last word
I’d use to describe the book, and it is certainly not “poorly written.” What’s
more, the book is not–I repeat–not “anti-Semitic” and the book has absolutely
nothing whatsoever to do with the subject of the Holocaust. In fact, anybody
familiar with any of the standard writings on the JFK assassination will
recognize the names of some of the key players in the scenario Piper documents:
Clay Shaw, David Ferrie, Guy Banister and James J. Angleton of the CIA–and none
of them were Jewish. So where this reviewer gets off saying that Piper finds “a
Jew under every rock” is beyond me. I have read literally hundreds of books and
magazine articles and other material on the JFK assassination and not in a single
one of them–with the exception of Final Judgment–did I ever learn that
President John F. Kennedy was trying to stop Israel from building the nuclear
bomb and that this literally touched off a “secret war” behind the scenes
between JFK and Israel’s prime minister, David Ben-Gurion, who resigned (among
other reasons) in disgust over JFK’s policies with Israel. In fact, Israeli
historian Avner Cohen in his book, Israel and the Bomb, documents this quite
thoroughly. And in Final Judgment Piper also outlines some interesting Israeli
connections by people who have been linked to the JFK assassination and
cover-up, including Clay Shaw of New Orleans. Even Israeli journalist Barry
Chamish has written in an Internet review of Final Judgment that he finds
Piper’s Israeli connection (via Shaw and Permindex) quite convincing. There was
a controversy in the Chicago area following an attempt by the Anti-Defamation
League (an Israeli lobby organization) and people associated with the ADL to
prevent Final Judgment from being placed in the Schaumburg Township District
Library. Chances are the Reader from Chicago is probably an ADL representative!
–This text refers to the Unknown Binding edition. __________ JFK’s Concern Over
Israel’s Nuclear Bomb Program JFK’s Letter To Israeli PM Eshkol July 5, 1963
Dear Mr. Prime Minister (Eshkol), It gives me great personal pleasure to extend
congratulations as you assume your responsibilities as Prime Minister of
Israel. You have our friendship and best wishes in your new tasks. It is on one
of these that I am writing you at this time. You are aware, I am sure, of the
exchange which I had with Prime Minister Ben-Gurion concerning American visits
(ie: inspections -ed) to Israel’s nuclear facility at Dimona. Most recently,
the Prime Minister wrote to me on May 27. His words reflected a most intense
personal consideration of a problem that I know is not easy for your
Government, as it is not for mine. We welcomed the former Prime Minister’s
strong reaffirmation that Dimona will be devoted exclusively to peaceful
purposes and the reaffirmation also of Israel’s willingness to permit periodic
visits (ie: inspections -ed) to Dimona. I regret having to add to your burdens
so soon after your assumption of office, but I feel the crucial importance of
this problem necessitates my taking up with you at this early date certain
further considerations, arising out of Mr. Ben-Gurion’s May 27 letter, as to
the nature and scheduling of such visits. I am sure you will agree that these
visits should be as nearly as possible in accord with international standards,
thereby resolving all doubts as to the peaceful intent of the Dimona project.
As I wrote Mr. Ben-Gurion, this Government’s commitment to and support of
Israel could be seriously jeopardized if it should be thought that we were
unable to obtain reliable information on a subject as vital to the peace as the
question of Israel’s effort in the nuclear field. Therefore, I asked our
scientists to review the alternative schedules of visits we and you had proposed.
If Israel’s purposes are to be clear beyond reasonable doubt, I believe that
the schedule which would best serve our common purposes would be a visit early
this summer, another visit in June 1964, and thereafter at intervals of six
months. I am sure that such a schedule should not cause you any more difficulty
than that which Mr. Ben-Gurion proposed in his May 27 letter. It would be
essential, and I understand that Mr. Ben-Gurion’s letter was in accord with
this, that our scientist have access to all areas of the Dimona site and to any
related part of the complex, such as fuel fabrication facilities or plutonium
separation plant, and that sufficient time to be allotted for a thorough
examination. Knowing that you fully appreciate the truly vital significance of
this matter to the future well-being of Israel, to the United States, and
internationally, I am sure our carefully considered request will have your most
sympathetic attention. Sincerely, John F. Kennedy
http://www.jfkmontreal.com/toc.htm Here is the US Air Force paper on Israel’s
nuclear blackmail of the United States and its influence on US foreign policy.
One can draw additional conclusions about how such blackmail might have
factored into the trillion plus US dollars that have benefited Israel since
JFK’s murder.
Israel’s ‘Use’ Of Nuclear Weapons Against Us
Bush Must Say ‘No’ To Israeli Nuclear Blackmail – LaRouche
Comment From George LoBuono 10-3-3 Mossad motives against JFK are
probably true, but don’t forget who more probably did the actual shooting and
the cover-up. CIA and military-industrial fingerprints are all over the hit.
Meyer Lansky may have had Permindex-Mossad ties, i.e. he sought refuge in
Israel toward the end of his life, but Lansky had much more going here in the
USA. For example, the United Fruit company figures in the lives of more
assassination suspects than did Permindex. Col. Fletcher Prouty’s naming of
Gen. Ed Lansdale as the man in Dealey Plaza photos (walking past the famous
hobo suspects) also points to United Fruit. Lansdale’s protege in the CIA was
Allen Dulles, who worked for United Fruit for years. United Fruit was owned by
the Du Pont family. Incidentally, the Bronfman family which this article ties
to Permindex, held a major share of Du Pont corp. stock up until a few years
ago. In short, there may have been Mossad motives against JFK, but the larger
hand and the triggermen appear to have been US citizens.
View the original article here
Nouvelles
révélations contenues dans la sixième édition du livre (
) Final Judgment: The
Missing Link in the JFK Assassination Conspiracy de Michael Collins Piper. Lire l’article original
ici. Voir la section
photos fort bien fournie, ici.
Alors que le second
tirage de la sixième édition de Final Judgment était sur le point
d’aller sous presse, un rapport détaillé anonyme de 19 pages, avec 115 notes de
bas de page et s’appuyant sur un large éventail de sources courantes, est
arrivé à la boîte aux lettres de l’auteur de Final Judgment Michael
Collins Piper. Le document était dans une enveloppe (sans adresse de retour)
sur laquelle était inscrit "Dallas, Texas." Intitulé «L’assassinat
de Kennedy et Israël: Quelques connexions relatives à Dallas», le document
était apparemment le travail d’un journaliste professionnel intéressé aux
"détails sur la façon dont les Israéliens pourraient avoir influencé les
événements à Dallas", répondant à certains manques et empruntant certaines
pistes qui n’avaient pas été explorées en détails dans les éditions précédentes
de Final Judgment. Les données sont assez explosives, surtout lorsqu’on les
compare avec la mythologie à propos du "Grand D" ("Big D",
c-à-d Dallas) répétée à l’infini dans la littérature portant sur JFK.
Cependant, la compréhension la vraie ville de Dallas, et non pas la légende
dépeinte dans les films hollywoodiens, prépare le lecteur aux révélations
présentées dans Final Judgment.
Le document enterre le vieux mythe fatigué selon lequel une clique de
ploutocrates du pétrole antisémites Blancs Anglo-Saxon Protestants (WASP)
dominait Dallas. La vérité est tout le contraire. Non seulement Dallas a une
communauté juive très puissante, mais, plus important encore, cette ville (et
le Texas) était un centre important de collecte de fonds et de contrebande
d’armes pour la cause sioniste, et ce depuis les années 1940. Même Jonathan
Pollard, l’espion américain pour Israël, a déclaré qu’il avait été inspiré à
faire de l’activisme pro-Israël par des histoires qu’il avait entendu (alors
qu’il habitait au Texas), de trafic d’armes par des Juifs dans l’underground
israélien au Texas. En fait, La publication racontant l’histoire officielle
d’une importante opération de contrebande d’armes sioniste, l’Institut
Sonneborn, rapporte que ses agents faisaient la contrebande de pièces
d’aéronefs du Texas vers Israël. Cela eut lieu au moment où un mécanicien
aéronautique de l’Armée de l’Air récemment retraité, Jack Ruby, est revenu à
Dallas en 1947, l’année précédant la naissance d’Israël, lorsque les activités
Sonneborn étaient à leur zénith. Ruby se vantait d’avoir fait du trafic d’armes
en Israël et, en 1963, participait au trafic d’armes supervisée par un officier
du renseignement israélien. Donc, la connexion israélienne au Texas était
beaucoup plus intime que plusieurs ne l’ont jamais réalisé.
En 1963, l’intérêt principal de JFK à Dallas était de collecter de fonds auprès
de l’élite de Dallas, et cela signifiait que les riches démocrates juifs
pro-Israël qui étaient les principaux anges financiers du Parti démocratique
là-bas. Et puisque JFK était, à cette époque, en désaccord avec Israël sur son
programme d’armes nucléaires, il est de la plus haute importance de comprendre
la manière dont JFK a été leurré pour qu’il se rende à Dallas et de savoir qui
était en charge du régime qui a réellement facilité son assassinat. Et s’il est
bien connu que le bras de Dallas qui a payé le voyage de JFK au Texas était
parrainé par le Conseil des citoyens (CC), le groupe d’affaires d’élite qui a
gouverné Dallas, il est est beaucoup moins connu que la preuve a été faite
comme quoi deux des trois personnages clés qui dominaient la CC étaient des
juifs, non pas des «WASPs» comme le suggère la légende de Dallas. Ce sont les
gens qui dirigeaient réellement Dallas, pas les conservateurs affilié à la John
Birch Society, comme le vieux mythe le laisse entendre. En 1963, un de ces juif
qui tenaient les rennes du pouvoir était un grossiste de liqueur ouvertement
pro-israélien, Julius Schepps, qui détenait les droits de distribution à Dallas
pour les produits Seagram’s de la famille Bronfman. Et comme nous le verrons, il
a été prouvé que Jack Ruby était sur la liste de paie de la famille Bronfman,
dont les empreintes digitales se trouvent partout dans le complot d’assassinat
de JFK.
Les moyens par lesquels l’élite Dallas a pris le contrôle de l’agenda de voyage
de JFK à Dallas est intéressant. Puisque le voyage de JFK à Dallas était
officiellement désigné comme étant «non politique», contrairement à d’autres
arrêts au Texas comme Houston et Austin qui ont été désignés comme
«politiques», les entités privées qui payaient son voyage à Dallas ont pris le
contrôle de la planification (la retirant des mains du Comité national
démocrate contrôlé par JFK). Le CC a désigné un "comité d’accueil."
Le président de CC était le leader et représentant en relations publiques de la
communauté juive de Dallas, Sam Bloom, directeur exécutif de longue date de la
CC, de même que –rétrospectivement– l’un des moins connus mais plus influents
acteurs de l’histoire mondiale.
Il y a eu confrontation immédiate entre Bloom, qui représente l’élite de
Dallas, et Jerry Bruno, le représentant vétéran de JFK. Bruno voulait que le
Président parle au bâtiment des femmes (Women’s Building), mais les dirigeants
de Dallas ont insisté que JFK devait prendre la parole au Trade Mart. Bien que
Bruno ait combattu longuement et durement, après beaucoup de pression, la
décision de l’élite de Dallas a prévalu, ce qui a amené les loyalistes JFK à
commenter que "ce fut l’un des quelques combats de ce type que j’aie
perdu. Sur des affaires comme celle-ci mon choix était habituellement adopté.
Cette fois il ne l’a pas été. "
En forçant JFK à prendre la parole au Trade Mart, l’élite de Dallas a fait en
sorte que le cortège de JFK prenne le chemin désormais tristement célèbre en
«patte de chien» qui devait l’amener tout droit vers le classique "angle
mort", "préféré des tireurs d’élite", sur Elm Street, juste en
dessous de la réserve de livres d’école du Texas (Texas School Book Depository,
TSBD), d’où le présumé assassin, l’employé de TSBD Lee Harvey Oswald, aurait
tiré les coups de feu mortels, comme il a été affirmé plus tard. La zone se
trouvait était également à portée de la butte "d’herbe" et du Dal-Tex
Building situé tout près, où les investigateurs de l’assassinat situent les
tireurs d’élite. Si la décision du représentant de JFK avait prévalu comme
d’habitude, JFK (sur son chemin vers le lieu de prédilection) aurait passé en
voiture deux rues plus loin de la zone de tir du TSBD et beaucoup plus vite.
Bien que les services secrets se soient opposés (pour des raisons de sécurité)
à la publication du trajet de la voiture de JFK, Bloom (le représentant de
l’élite de Dallas) a néanmoins fait en sorte qu’une carte de l’itinéraire soit
publié à plusieurs reprises dans les journaux de Dallas. De sorte que, plus tard,
lorsque le bouc émissaire était en garde à vue, il y a avait une explication
plausible du fait qu’il ait su que JFK passerait tout près de son lieu de
travail.
Le fait que l’assassin a très probablement tiré sur JFK à partir du bâtiment de
Dal-Tex est des plus pertinent dans l’étude de la connexion israélienne.
Co-propriété de David Weisblat, un bailleur de fonds important pour le lobby
israélien de la Ligue anti-diffamation, le bâtiment Dal-Tex abritait, sur
plusieurs étages, un certain nombre d’entreprises qui utilisaient le numéro de
téléphone de Morty Freedman, un avocat, fabricant de vêtements et militant pour
des causes juives. Sachant que JFK s’efforçait à stopper le programme d’armes
nucléaire d’Israël — qui a reçu de l’uranium de contrebande de la part des
États-Unis — il est intéressant de noter qu’une firme de Dal-Tex liée à
Freedman était la Dallas Uranium & Oil Company. Il est également curieux
que l’un des partenaires d’affaires de Freedman relié à Dal-Tex était Abe
Zapruder, le fabricant de robe juif qui a filmé l’assassinat et en a grandement
profité. Aujourd’hui, des gens pensent que Zapruder avait une connaissance
préalable de l’assassinat.
Une fois l’accusé assassin mis en garde à vue, c’était –vous l’aurez deviné–
Sam Bloom, qui avait déjà poussé JFK dans la zone d’assassinat, qui a ensuite
fait pression sur Elgin Crull, le maire de la ville, pour qu’il presse en
retour le chef de police de Dallas Jesse Curry de rendre Oswald accessible à la
presse et de l’emmener publiquement du poste de police de Dallas à la
prison municipale. Ainsi, la situation était en place pour que Jack Ruby puisse
le tuer. Plusieurs sources, y compris un agent du FBI à Dallas Hosty James, ont
déclaré que Bloom et ses partisans étaient le moteur derrière tout ça. Lorsque
la police a fouillé la résidence de Ruby, ils ont trouvé un bout de papier avec
le nom de Bloom, son adresse et numéro de téléphone.
C’est ainsi que le mythe de Dallas meurt de sa belle mort. Ce sera douloureux
pour ceux qui ont pensé que la ville était un bastion anti-juif, mûr pour une
révolution nazie. Au lieu de cela, Dallas était en fait un avant-poste pour la
promotion des intérêts d’Israël comme c’est toujours le cas de nos jours.
Bien que Walt Brown ait suggéré dans Treachery in Dallas que l’élite de
la ville se trouvaient derrière les événements du 22 novembre 1963, il s’est
précipité à écrire ailleurs que l’assassinat de JFK "n’a pas été fait par
le Mossad… Comme certains voudraient nous le faire croire " (en référence
à Final Judgment). Toutefois, à la lumière du "Portrait d’ensemble
à Grand D" ("Big Picture in Big D") — des détails que Brown a
ignoré (ou supprimé) en terme de contexte ultime (et critique) — il est temps
pour ceux qui veulent connaître toute la vérité sur l’assassinat de JFK de
jeter un regard nouveau sur Final Judgment.
Références
& Informations Complémentaires:
On this 50th anniversary of the ritual murder of President John Fitzgerald
Kennedy, Michael Collins Piper fills in the blanks on Kennedy’s fight to the
death with the Hellish State.
Download Here
Conspiracy vs.
Facts: Who Killed JFK? Maidhc Ó Cathail
The Passionate Attachment
November 22, 2013
In all the media coverage of the 50th anniversary of the assassination of
President John F. Kennedy, with its predictably misleading analysis of the
attendant conspiracy theories, there are a few intriguing facts that you are
unlikely to read.
Fact #1: When John F. Kennedy demanded in a personal letter dated May 18,
1963 that David Ben-Gurion end Israel’s nuclear weapons program — considered by
one leading Israel advocate
in a 2010 Jerusalem Post
op-ed to be “necessary to ensure Jewish survival in a
very hostile world” — the Israeli Prime Minister “abruptly resigned” in order
to avoid answering.
Fact #2: Kennedy’s alleged lone assassin, Lee Harvey Oswald, was assassinated
by Jacob Rubenstein, whose rabbi recently told The Jewish
Daily Forward that he thinks Ruby told him when he
visited the mobster from
Chicago the next day in jail, “I did it for the Jewish
people.”
Fact #3: Oliver Stone’s conspiratorial “JFK” movie was produced by
Arnon Milchan, described in a 2011 biography
as “one of the most important covert agents that Israeli intelligence has ever
fielded,” who according to recently declassified FBI files played a key role in
the stealth
acquisition of U.S. nuclear triggers by the Middle East’s sole
albeit “ unmentionable (Preview) ”
nuclear power.
An article in today’s Guardian by the head of the Anomalistic Psychology Research Unit
at Goldsmiths, University of London, wonders:
At no point have more than 36% of Americans believed
Kennedy was assassinated by a lone gunman. What is it about human psychology
that makes conspiracy theories so appealing?
Perhaps it has something to do with many people’s
healthy, well-founded skepticism of the media’s rather selective reporting of
the facts. Or that no matter how
many
conspiracy
theories they are prepared to discuss, journalists will rarely,
if ever, look into the one conspiracy
that might tell us who had the most to gain from Kennedy’s abrupt death 50
years ago today.
Maidhc Ó Cathail is an investigative journalist and Middle East analyst. He is also
the creator and editor of The Passionate Attachment blog, which focuses primarily on the
U.S.-Israeli relationship. You can follow him on Facebook and Twitter @O_Cathail.
(NaturalNews)
Disclaimer: I am not an opponent of the theory of inoculation. Nor am I opposed
to science. What I am opposed to is fraudulent science, and that's what
this article is all about.
Measles and mumps are making a huge comeback in the United States, but doctors
and journalists all make the same critical error in understanding why. They
blame "parents who don't vaccinate their kids" as the cause, but the
real cause -- as revealed by whistleblowing scientists working for top vaccine
manufacturers -- is that measles and mumps vaccines are designed to fail
from the start.
Scientific fraud, it turns out, is an inherent part of the vaccine industry.
How do we know? Because whistleblowers who worked in the industry have found
the courage to speak out and tell the truth. These people are the Edward
Snowdens of the vaccine industry.
Merck
falsified its mumps vaccine efficacy results, say former employees
Merck knowingly
falsified its mumps vaccine test results to fabricate a "95% efficacy
rate" say former Merck virologists Stephen Krahling and Joan Wlochowski in
their shocking False Claims Act document.
As I wrote last year,
" In order to do this, Merck spiked the blood test with animal antibodies
in order to artificially inflate the appearance of immune system
antibodies."
From
the False Claims Act complaint:
Merck also added animal antibodies to blood samples to achieve more
favorable test results, though it knew that the human immune system would never
produce such antibodies, and that the antibodies created a laboratory testing
scenario that "did not in any way correspond to, correlate with, or
represent real life ... virus neutralization in vaccinated people,"
according to the complaint.
Merck, of course, denies the claims, just like all the drug companies deny ever
engaging in bribery,
or using children for medical
experiments, or ghostwriting "scientific"
studies that get published in science journals, or
conspiring to suppress competing generic drugs
and so on. Yet, as history has shown, all the top drug companies are routinely
engaged in widespread criminal behavior, including conspiracy, fraud,
bribery and more.
Stephen Krahling and Joan Wlochowski are simply telling us what we already
suspected: that Merck falsifies the efficacy of their vaccines in order to make
them appear to be working when they actually aren't. Why would a drug company
do such a thing? Consider the fact that Merck has both motive and opportunity.
Why
drug companies design vaccines to fail
The vaccination dogma
is so deeply embedded in the minds of doctors, journalists and the public, that
any time a communicable disease starts to spread, everybody immediately leaps
to the false conclusion that "more vaccines are needed." This is very
nearly a Pavlovian reaction in the minds of the brainwashed masses.
"Spread of disease = lack of vaccines."
Thus, the spread of disease actually boosts vaccine sales. Epidemics are
a "marketing tool" to create demand for a profitable product that
people can be convinced to purchase over and over again, year after year,
whether it works or not.
And how do you create that demand? You engineer an epidemic by making
sure your own vaccine products don't work. Fear drives people to get
vaccinated, so fear is used as the primary marketing tool.
But why hasn't the con been exposed yet? Why haven't scientists announced that most
of the children afflicted with measles and mumps are the very same children who
were vaccinated? One study showed that 97 percent of children afflicted with
mumps had already been vaccinated against mumps.
In 2010, a mumps outbreak spread in New Jersey, and 77 percent of children afflicted with
mumps had already been vaccinated against mumps.
The same is true with measles. Most measles outbreaks spread among those who have been
vaccinated against measles.
When a swine flu outbreak swept through Britain in 2010, it turns out that 70 percent of those infected had
already been vaccinated against swine flu.
Far from protecting people from disease outbreaks, vaccines often promote
the pandemic they claim to prevent.
Vaccines
are ASSUMED to work, not proven to work
Why does the industry
keep getting away with this fraud? The answer is because nobody ever
compares infection rates of vaccinated vs. unvaccinated people. They all
just ASSUME vaccines work because that is the dogma of modern medicine.
Assumption becomes "fact" in the minds of brainwashed medical
experts.
This is one of the tenants of the fraud-based medical system: Vaccines are
assumed to work 100% of the time, without exception, and anyone who questions
this is immediately branded a heretic. There is no tolerance whatsoever for any
critical thinking or scientific inquiry when it comes to vaccines. And God
forbid if you bring up the issue of mercury in vaccines, as the vaccine
industry apparently believes that mercury magically becomes non-toxic when used
in vaccines and injected into the body.
Thus, vaccines that fail (due to low efficacy) are never detected or even
questioned. The fraud continues right under our noses. So a vaccine company can
easily put a mumps or measles vaccine into circulation that is designed to
fail while actually weakening the immune system from the mercury, formaldehyde, MSG and
aluminum that are still used in vaccines today.
This actually causes an increase in the spread of these diseases,
resulting in more alarmist media stories about the "spread of measles and
mumps" which then results in more parents rushing to CVS pharmacies to get
their children injected with yet another useless vaccine.
How's that for an insidious profit model?
But it's even worse than that. While some vaccines are simply designed to fail,
other vaccines are designed to cause outbreaks of disease.
Some
vaccines are actively spiked with live viruses to cause pandemics
As Natural News previously exposed,
the vaccine industry was caught shipping live viruses to vaccine
manufacturers of flu vaccines in 18 countries.
This was done by none other than Baxter International, Inc. one of the top suppliers
of "weakened" flu virus material for use in vaccines. Except in this
case, they weren't weakened. Vaccines made with this material simply gave
people the flu!
In the realm of desktop computing, many people believe that anti-virus
companies write and release viruses in order to cause fear and boost demand for
their products. It's an incredibly effective way to sell more products. All you
have to do is pay a group of hackers a couple of million dollars to keep
writing viruses that get covered in the mainstream media. The scarier the
story, the more people buy anti-virus software. I happen to know firsthand that
McAfee uses dishonest scare tactics to sell their security software services,
claiming your website is infected when it actually isn't.
Vaccine companies, it turns out, use the same tactic. From time to time, they
allow live viruses into the flu shots, thereby spreading influenza and causing
the very kind of fear and panic that drives people into pharmacies to buy more
vaccines.
The WHO and CDC are all part of it too, stirring up irrational fear and panic
like they did with the H5N1 virus a few years ago. It turns out that WHO panel members receive kickbacks
from drug companies to engineer these anti-science scare
stories.
During the swine flu pandemic, it was revealed that 5 of the 15 members of a
WHO advisory panel had financial ties to the very same
drug companies who would financially benefit from the
pandemic. That's called "conflict of interest" in any other industry,
yet for some reason it is fully tolerated in the fraudulent vaccine industry.
In 2010, an outstanding article by Dr. Gary Null explained much of this in
excruciating detail. Read that article here on Natural News.
The deeper you dig into the vaccine industry and its longstanding practice of
scientific fraud, misrepresentation, fear mongering and "medical false
flags," the more you realize just what a total con the vaccine industry
has become.
Read more:
http://www.naturalnews.com/029124_flu_vaccin...
http://www.naturalnews.com/036328_Merck_mump...
Click here for an example of the
mainstream media blindly blaming a lack of vaccines
for the recent rise
|
A report was released
today proposing a link between genetically modified foods and gluten-related
disorders: everything you need to know – including a brief article summarizing the findings – can be found at www.glutenandgmos.com.
Genetically Modified Organisms (GMOs) Linked to Gluten-Related Disorders
Do you or a loved one
suffer from gluten sensitivity? You may be wondering why you react to gluten
now even though you never did in the past. You may be wondering why a
gluten-free diet has helped, but has not completely resolved your symptoms.
If you are on a quest to find all of the pieces to the gluten puzzle, this
information is for you. In today’s report, released by the Institute for
Responsible Technology, a team of experts proposes a possible link between
genetically modified organisms (GMOs) and gluten-related disorders. The
analysis is based on Dept. of Agriculture data, Environmental Protection Act
records, medical journal reviews, and international research. You can find
all of the following at www.glutenandgmos.com:
Stay Away from
GMOs
Many people who
discover they are gluten-sensitive actually increase their intake of GMOs
because they switch from wheat products to corn products. With 88% of the
U.S. corn crop genetically engineered, avoidance of GMOs in the gluten-free
community presents a unique challenge to consumers.
The best way to avoid
GMOs is to consult the NonGMOShoppingGuide.com or
download the free iPhone app ShopNoGMO. Look for
products with either the “Non-GMO Project Verified” or the “Certified
Organic” seal. Avoid ingredients derived from the foods most likely to be
genetically modified. These include soy, corn, cottonseed, canola, sugar,
papaya from Hawaii or China, zucchini, and yellow squash.
|
It was the part of the Fukushima Daiichi nuclear power plant that spooked
American officials the most, as the complex spiraled out of control two and a half
years ago: the spent fuel pool at Reactor No. 4, with more than 1,500
radioactive fuel assemblies left exposed when a hydrogen explosion blew the
roof off the building. In the next 10 days, the plant’s operator, the Tokyo
Electric Power Company, is set to start the delicate and risky task of using a
crane to remove the fuel assemblies from the pool, a critical step in a long
decommissioning process that has already had serious setbacks. The operation
addresses a threat that has hung over the plant since the crisis started. It is
still dangerous to have the fuel high up in a damaged structure that could
collapse in another quake, experts warn. But removing it poses dangers, too.
The fuel rods must remain immersed in water to block the gamma radiation they
emit and allow workers to be in the area, and to prevent the rods from
overheating. An accident could expose the rods and — in a worst-case scenario,
some experts say — allow them to release radioactive materials beyond the
plant. “There are potentially very big risks
involved,” Shunichi Tanaka, the head of Japan’s nuclear regulator, said last
week. “Each assembly must be handled very carefully.” “All I can do is pray
that nothing goes wrong,” said Yasuro Kawai, a former plant
engineer who now heads a group that is independently monitoring the
decommissioning process.
AFP, Nov. 19, 2013 at 6:55a JST:
M5.7 earthquake jolts
eastern Japan [...] on Tuesday morning, seismologists reported. No tsunami
alert was issued. The quake struck at around 4:10 a.m. off the eastern Honshu
coastline [...] The tremor struck far down at a depth of 332 kilometers, the
USGS added. [...]
Japan Meteorological Agency, Nov. 19, 2013:
AP, Nov. 18, 2013: The rods have remained in a pool of
cooling water 30 meters (100 feet) above the ground [...] making them
vulnerable to another major earthquake. [...] A crane may drop a cask on the
ground.
Radio Free Europe, Nov. 18, 2013: [Mycle Schneider, an
independent nuclear consultant said,] “The big danger is that through a further
earthquake or any kind of impact, the water in the pool gets drained beyond a
level that can’t be topped up. That would lead to the spent fuel overheating
and potentially burning.” [...] [Professor Komei Hosokawa, of Kyoto Seika
University] and Schneider said the worst thing that could happen during
the operation would be a cask being dropped onto the wall of the pool,
which would result in a loss of water.
The Guardian, Nov. 18, 2013: [...] experts have warned
[...] a sudden loss of coolant water or another earthquake could cause a chain
reaction and release huge quantities of radiation into the atmosphere. [...]
“After the explosion, one big challenge was to deal with the spent fuel pool
because if the water evaporated it would cause a radioactive cloud
stretching all the way to Tokyo, which would have to be evacuated,”
Yuichi Okamura, deputy manager of the water treatment department at Fukushima
Daiichi, told the Guardian on Monday.
NHK, Nov. 18, 2013:
Fukushima resident: What I am
most anxious about is — What will happen if the removal operation fails in
some catastrophic way?
Watch NHK’s broadcast here
Abe has repeatedly emphasised that the law is the prerequisite for
establishing a US-style National Security Council, an initiative that has
cleared the lower house and is being debated in the upper house. Such a body
will bring together ministers and senior military officers to coordinate
defence planning and give the prime minister sweeping powers—in line with Abe’s
plan to build “a strong military.”
Abe has insisted the secrecy law is necessary so that all government
departments follow a uniform rule. The legislation is being enacted amid the
politically explosive disclosures by American whistleblower Edward Snowden of
the US National Security Agency’s vast spying operations. The Japanese
government is clearly determined to prevent similar damaging leaks.
The proposed bill will effectively allow the government to proclaim any
potentially embarrassing information a “state secret,” to keep it indefinitely
from public scrutiny and harshly punish any attempt to disclose it.
This is
not only about a potential confrontation with China: this is also about
covering up all the deaths and illnesses which have resulted, and will result, from
the Fukushima reactor melt-down, and absolves both the government and TEPCO
from ever having to face responsibility for this debacle, no matter how many
people ultimately sicken and die from this.
Twelve years ago, on 13 November 2001, President George W Bush signed an
order authorizing the detention of suspected al-Qaida members and supporters,
and the creation of military commissions. A total of seven detainees out of the
779 men ever held at Guantánamo have been convicted and sentenced. Five of the
seven are no longer at Guantánamo creating a paradox: you have to lose to win.
Those lucky enough to get charged and convicted of a war crime have good odds
of getting out of Guantánamo, but those who are never charged could spend the
rest of their lives in prison. Since nearly all of the men held at Guantánamo
have been there since long before 2006 and most were at best low-level
flunkies, the government's inability to charge them with providing material
support for terrorism means they likely will never face a military commission
for a trial that might have enabled them to find a way out of Guantánamo. In
September 2006, 14 high-value detainees held in CIA black sites were
transferred to military custody at Guantánamo. Only one has been tried and
convicted. The law that has evolved from Guantánamo
has been a black eye for the country: from the Supreme Court ruling that
President Bush's military commissions were illegal to the Washington DC circuit
ruling [that] all of the men convicted in military commissions were charged
with an offense that was not a legitimate war crime. America's
enemies and allies alike, in their criticism of US war on terrorism practices,
cite Guantánamo as an example of failed leadership.
Note: For more on military corruption, see the
deeply revealing reports from reliable major media sources
available
here.
Shaker Aamer can, for the first time, be heard speaking from his prison cell
in Guantanamo Bay as part of a recording made by a US news channel.
These
People Are Sick
This is must
watching.
DARPA and Google want to convince
young people that wearing electronic
tattoos and ingesting daily digital
ID tokens for "authentication" is cool.
They're serious.
Hey kids, wear electronic tattoos.
Take ingestible "authentication" tokens.
Isn't it cool?
Cleared by the FDA.
"You can take 30 per day for the rest of your life."
I'm trying to come up with commentary on this that doesn't include four letter
words. For the moment, I'm failing other than to repeat: "These people are
sick." - See more at:
Warburg Pincus
From Wikipedia, the free encyclopedia
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Industry
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Founded
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1966
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Founder(s)
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Headquarters
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Key people
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Products
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$30 billion
|
Website
|
|
Warburg Pincus, LLC is a global
private
equity firm with offices in the
United
States,
Europe,
Brazil,
China and
India. It has been a
private equity investor since 1966. The firm currently has approximately
$30 billion
[1]
in
assets under management and invests in a
range of sectors including
consumer, industrial and services (CIS),
energy,
financial services,
health care,
technology,
media and
telecommunication TMT and
real estate.
Warburg Pincus is a
growth investor[2]
and its active portfolio of more than 125 companies is highly diversified by
stage, sector and geography. Warburg Pincus has raised 13 private equity funds
which have invested more than $40 billion in over 650 companies in more than 30
countries.
[1]
Warburg Pincus also has a long history as a leading investor in the
information and communication technology sectors, including investments in
Avaya,
BEA Systems,
Bharti Tele-Ventures, Cassatt, Harbour
Networks,
NeuStar,
Systinet,
Telcordia and
VERITAS
Software.
[3][4]
Nearly 400 children have been rescued and 348 adults arrested following an
expansive and “extraordinary” international child pornography investigation,
Canadian police announced [on November 14]. The three-year [investigation],
named Project Spade, ... revealed an entire child movie production and
distribution company in Toronto operating via the web site azovfilms.com. The
site was run by 42-year old Brian Way, according to police, and sold and
distributed images of child exploitation to people across the world.
Investigators catalogued hundreds of thousands of images and videos of
“horrific sexual acts against very young children, some of the worst they have
ever viewed,” [Joanna Beaven-Desjardins, head of Toronto’s Sex Crimes Unit]
said at the press conference. Police seized over 45 terabytes of data from the
$4-million business that distributed to over 50 counties including Australia,
Spain, Mexico, Sweden and Greece. As a result of the investigation thus far, 50
people were arrested in Ontario, 58 in the rest of Canada, 76 in the United
States, and 164 internationally. Among those arrested
were 40 school teachers, nine doctors and nurses, six law enforcement
personnel, nine pastors and priests and three foster parents, she said. Citing
a particularly egregious example, she said police found over 350,000 images and
over 9,000 videos of child sexual abuse in the home of a retired Canadian
school teacher. Some of the images were of children known to
the man and he was also charged with sexually abusing a child relative. Police
said the children were "rescued from child exploitation" but did not
give more details.
Note: For more on sexual abuse of children, see
the deeply revealing reports from reliable major media sources
available
here.
United States bankers may rarely see the inside of a prison cell, but the
Vietnamese are taking financial corruption far more seriously. Vu Quoc Hao and
Dang Van Hai have both been sentenced to death by lethal injection after a
trial lasting just nine days in Ho Chi Minh City.
"They were given the sentences for embezzlement of assets,
mismanagement, abuse of power and fraud, [and] causing serious consequences to
the state," reported state TV programming.
We could use some of that here!
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