Rabaska fait des vagues
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Ce texte a été publié par Yan Turgeon sur CentPapiers, et il fait suite aux informations sur le dossier du projet gazier de Rabaska, ce qui est la raison pour laquelle je le mets ici en lien. Vous trouverez aussi mon commentaire à la suite. - LNI
Rabaska fait des vagues
Yan Turgeon
La version originale de cet article a été publiée à cet endroit.
Le projet de port méthanier Rabaska fait encore des vagues. Les groupes impliqués dans la lutte contre le terminal méthanier se sont unis au sein du collectif Stop au méthanier pour relancer le débat. Un débat fortement émoussé depuis la recommandation du projet par le Bureau d’audiences publiques en environnement (BAPE) et ce, malgré la désapprobation de la Commission de protection du territoire agricole (CPTAQ), qui a refusé à deux reprises de modifier le zonage agricole du secteur pour y permettre l’implantation du port méthanier.
Le nouveau collectif estime que le gouvernement québécois n’’a pas hésité à contourner l’’esprit de ses propres lois pour donner le feu vert au promoteur. « En plus d’être mal localisé [le projet de port méthanier de Rabaska], est injustifié à tous points de vue et dangereux pour la santé et la sécurité de la population. », peut-on lire sur le site web du collectif.
En effet, le projet, situé à la jonction des villes de Lévis et Beaumont, se trouve dans une zone agricole fortement peuplée, en plus de faire face à l’île d’Orléans, un des joyaux récréotouristiques de la Capitale nationale. Sans parler des risques d’accident maritime dans cette partie du fleuve.
La coalition exige qu’un mandat soit donné à la Régie de l’énergie pour que soit évalué les besoins réels du Québec en matière de gaz naturel.
Ceci est le commentaire que j'ai écris suite à cet article:
Québécois, ceci est la preuve que nous ne sommes pas maîtres en la demeure. Personne, aucun québécois est en faveur de ça. Ce n’est que les plans corporatiste de Desmarais et Carlyle Group qui vont en profiter. On nous utilise ainsi que notre territoire comme s’il ne nous apparetenait pas. NOUS NE SOMMES PAS MAÎTRES CHEZ NOUS. Nous sommes la propriété des compagnies. Fermez votre gueule esti de québécois, on va le construire notre projet. Retourne dans ton trou petit québécois, on se fou bien de ton opinion. Charest est le boss, et Dumont va être pire. Toi, petit québécois minable, tu n’as pas un mot à dire, chez vous, dans ta maison.
Je suis enragé. Ah, mais oui, on nous dit que ce n’est pas beau d’être en colère. On doit être gentil tout le temps, ne pas faire de vagues. Mais quand allons nous dire : "Non, j’en ai assez de jouer le rôle du petit esclave impuissant". Qui est le boss dans la province ? Nous ou le gouvernement ? D’où le gouvernement dérive t-il sont pouvoir ? DE NOUS. Nous sommes le POUVOIR, que notre volonté soit faite. Nous vivons dans un monde où les compagnies gérent nos gouvernement. C’est la définition même du fascisme mes amis. Mais c’est pas grave, on va continuer à chiâler au lieu de faire la révolution comme en Amérique du Sud : tant qu’on aura pas un gouvernement qui EXÉCUTE NOS DÉCISIONS, nous devons les jeter en dehors. Mais où sont nos patriotes ? Ils doivent pleurer de nous voir si mous et indifférents. Québécois, lève toi debout, trouve ta fière colonne rapidement et va faire comprendre au gouvernement qui est le boss et qui décide ici.
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