Comment un portail organique voit le monde organique Heureusement, étant donné que les PO peuvent être intelligents, observateurs et doués de capacités analytiques, et puisqu'ils semblent compter parmi eux quelques-uns des scientifiques les plus célèbres, ils sont à même de nous décrire très précisément et avec force de détails comment ils perçoivent le monde et leur « vie » intérieure. Au fond, peut-être s'agit-il de la réponse concernant l'origine d'un des conflits les plus persistants de l'histoire de l'humanité : la lutte entre le bien et le mal. Comment se fait-il qu'il y ait tant de conflits dans le monde, pourquoi tant de gens demeurent divisés, chacun privilégiant la paix ou la guerre, le respect ou le manque de respect, la protection de l'environnement ou sa destruction, c'est à dire en résumé, une perspective purement matérielle au service de soi ou alors une approche spirituelle au service d'autrui. Peut-être nous approchons-nous de la réponse, car la vérité semblerait être qu'il n'y a pas et qu'il n'y a jamais eu un « nous » homogène (la race humaine) sur la planète. « Nous » ne sommes pas tous identiques ; « nous » ne voyons pas le monde de la même manière. « Nous » ne sommes pas simplement une race divisée ; nous sommes deux races différentes. On comprend alors mieux pourquoi la plupart des « scientifiques de haut niveau » ignorent dans leurs théories la dimension spirituelle, ou alors démolissent rapidement toute les théories « non-conventionnelles ». Les scientifiques qui sont des PO (la question de leur nombre est abordée plus loin) n'ont pas la moindre notion de ce qu'est la « spiritualité » ou que des centres supérieurs existent. Ils ne sont pas capables de faire l'expérience de ces centres, et c'est pourquoi leurs descriptions du monde n'en font pas état. Et parce qu'ils ne peuvent en faire l'expérience, ils nient l'existence de ces centres chez les autres, y compris chez ceux qui sont capables de « voir » ce que les PO n'ont pas la possibilité de voir. Dans un monde matérialiste où les Portails Organiques sont dans leur Élément Naturel - ce qui n'est PAS le cas des êtres dotés d'une âme – et avec une science dirigée par les Portails Organiques, établissant la distinction entre ce qui est vrai et ce qui est faux, il ne peut y avoir de place pour les réalités Supérieures. C'est « faux », comparé à la « vérité » manifeste du matérialisme dont les PO font l'expérience à tous les niveaux. Les Portails Organiques, lorsqu'ils occupent un poste de scientifique, arrivent obligatoirement à une explication matérialiste du fonctionnement de l'univers, car c'est tout ce qu'ils connaissent et c'est tout ce qu'ils sont capables de voir. C'est très clair lorsque l'on examine la question de la conscience elle-même. Les réponses sont extrêmement révélatrices. La capacité apparente des êtres humains à être « conscients d'eux-mêmes » ainsi que le problème de la conscience ont troublé l'esprit des philosophes, des psychologues, des scientifiques et des profanes excentriques depuis des temps immémoriaux. Maintenant plus que jamais, la nature de la conscience demeure pour la science l'un des problèmes non résolus les plus déconcertants et l'un de ceux qui reflètent notre nature même ainsi que notre relation à la réalité. La culture occidentale a vu l'émergence de diverses théories sur la nature de la conscience humaine. La plupart d'entre elles peuvent être associées à l'une des deux principales écoles de pensée, c'est à dire, d'un côté à l'approche matérialiste et darwiniste, de l'évolution/« survie du plus apte » qui suggère que l'esprit/la conscience est un épiphénomène qui émerge au dessus de l'existence matérielle. Selon ce point de vue scientifique, le cerveau est un ordinateur, avec des neurones et des synapses agissant comme des commutateurs basiques et des « bits », et la conscience est considérée comme une propriété nouvelle « émergeant » d'un processus calculatoire complexe. De l'autre côté, nous avons une école de pensée orientée davantage vers la « spiritualité », qui considère la théorie ci-dessus totalement inadéquate pour expliquer le phénomène (une opinion sans aucun doute alimentée par des croyances et des enseignements religieux variés), qui croit au concept d'une âme éthérique habitant le corps/esprit, s'exprimant sous la forme de la conscience, et que c'est cela l'aspect fondamental de la vie. D'autres écoles, qui font un panachage des deux théories, existent également. À ce stade, il est intéressant de regarder qui sont au juste les divers protagonistes des deux camps qui s'affrontent dans ce débat. D'un côté, nous avons de nombreux scientifiques et docteurs en médecine représentant des disciplines variées telles que le « darwinisme neuronal » de Edelman et les « mèmes » de Dennet et Dawkins. De l'autre côté, nous trouvons des gourous et des auteurs du « Nouvel Âge », des scientifiques atypiques respectables tels que David Chalmers ainsi que, bien évidemment, l'Église et les nombreuses distorsions du christianisme. Nous constatons ici que beaucoup de concepts émanant des PO ont été utilisés pour travestir la vérité spirituelle. Nous avons à faire à un grand nombre de PO imitant dans leur « recherche spirituelle » les êtres dotés d'une âme, mettant en avant des idées et des théories qui sont fondamentalement erronées car elles sont des « imitations » de la chose réelle que le PO, de par sa nature même, ne peut jamais percevoir correctement. Des chiffres surprenants rendus publics récemment montrent que 50% de l'ensemble des articles médicaux et scientifiques sont publiés par le même petit groupe d'universitaires, ceux-ci ne représentant seulement que 6% du nombre total des chercheurs. Si nous admettons que notre réalité est en grande partie manipulée, alors le moyen logique pour garder le monde de la science sous contrôle serait de faire en sorte qu'il soit peuplé de gens qui refléteront les vues et les opinions s'inscrivant dans un programme spécifique. La même chose est vraie pour le monde de la spiritualité et de l'ésotérisme. Les SDS de 4e densité font en sorte que les religions, les concepts spirituels et la presque totalité du « monde » de la métaphysique soient dominés par des PO afin de garder le « bétail dans l'enclos ». Aussi, une stratégie parfaite pourrait être de faire en sorte que les plus hauts postes soient tenus par des portails organiques, permettant ainsi aux contrôleurs de se reposer en toute tranquillité, sachant que toutes les théories et activités de recherche auront un penchant matérialiste et anti-spirituel, entretenant ainsi la comédie darwiniste d'un « singe évolué se cramponnant à un bloc de roche impie tournoyant dans l'espace » et gardant sous leur coupe ces êtres embarrassants dotés d'une âme. Richard Dawkins, l'un de ces hommes « haut placés », est le promoteur d'une thèse relativement nouvelle. Alors qu'il développait la théorie singulière selon laquelle les êtres humains étaient le moyen développé par les gènes pour assurer leur propre reproduction, Richard Dawkins inventa en 1976 le terme « mème » pour décrire et prouver la justesse de l'idée énoncée plus haut, c'est à dire que la conscience est simplement une fonction des groupes d'idées ou de concepts dans nos esprits. Ce qui diffère en revanche dans son interprétation, c'est que ce n'est pas la « machine » qui rassemble et organise les informations, et qui accomplit ensuite une action prédéterminée basée sur ces données, mais plutôt ce sont les « mèmes » qui adoptent une attitude plus hostile et qui, à la manière d'un virus, attaquent l'esprit humain (individuellement et en masse), rivalisant entre eux pour leur suprématie et donc leur survie, dans ce terrain fertile qu'est le réseau neuronal humain. Selon les termes du Dr. Susan Blackmore (autre chef de file de la mémétique) : Les mèmes sont des idées, des compétences, des habitudes, des histoires ou des inventions qui sont transmises de personne à personne par imitation. Comme les gènes, ils se battent pour être copiés, mais contrairement aux gènes, ils luttent pour se faire une place dans nos souvenirs et pour avoir l'opportunité de pénétrer dans les livres, les magazines et les programmes de télévision. Les survivants à ce jeu sont ceux que nous voyons tout autour de nous. De la même façon que les gènes ont créé nos corps, les mèmes ont créé nos esprits et nos cultures. Cela explique, selon cette théorie, notre nature religieuse incurable, nos formes peu usuelles de coopération et d'altruisme, notre usage de la langue et notre capacité à défier nos gènes par le contrôle des naissances et l'ingénierie génétique. Nous les humains, seuls sur cette planète, sommes des machines mémétiques. Le terme « mème » (choisi pour sa rime avec les mots anglais « cream » [crème] et « dream » [rêve]) a été inventé en 1976 par Richard Dawkins, et apparaît dans The Selfish Gene. L'objectif de ce livre était d'expliquer la force et le caractère général de l'idée brillante de Darwin. Ce que Darwin a réalisé, c'est qu'un simple processus sans intelligence peut rendre compte de l'évolution – sans avoir besoin d'un créateur. Si vous avez des créatures qui changent, et que seules certaines d'entre elles peuvent survivre, et si les survivants transmettent à leur descendance tout ce qui les a aidés à survivre, alors la génération suivante doit être mieux adaptée que la première – et ainsi se poursuit le processus. En des termes plus modernes, s'il existe de la variation, de l'hérédité et de la sélection, alors vous devez obtenir, comme l'énonce le philosophe Dan Bennet : « une création issue du chaos sans l'aide de l'Esprit. » Et ce processus inévitable s'applique à tout ce qui est copié, pas seulement les gènes.
Voici ce que Dan Dennett affirme au sujet des mèmes et des virus : Dawkins souligne que nous pouvons également considérer les objets culturels, les mèmes, comme des parasites. En fait, ils ressemblent plus à un simple virus qu'à un ver. Les mèmes sont supposés être analogues aux gènes, en tant qu'entités reproductrices des médias culturels, mais ils ont aussi des véhicules ou phénotypes; ils ne sont pas aussi nus que des gènes. Ils sont comme des virus (Dawkins, 1993). Comme pour les virus, on peut établir une distinction basée sur le phénotype/génotype, bien qu'elle soit peu marquée. En termes simples, un virus est seulement une chaîne d'ADN (ou d'ARN) possédant un comportement. De manière similaire, un mème est un paquet d'informations (les informations, pas le véhicule) doté d'un comportement – avec un habillage phénotypique qui exerce sur le monde des effets différenciés, lesquels influent sur ses chances d'être reproduit.
Dan Dennett est l'un des plus ardents défenseurs de la théorie considérant l'esprit comme un programme, bien que selon la théorie de Dennett, l'esprit n'est pas un programme unique mais une collection de programmes très simples, faisant chacun très bien une seule chose. Tout cela est détaillé dans son livre Consciousness Explained. Dennett suggère que cette collection de programmes donne l'impression d'une unité qui est le « soi », mais que ce soi, en tant qu'unité, n'existe pas. Dennet donne une description très précise de la façon dont fonctionne l'esprit d'un Portail Organique. C'est aussi la manière dont fonctionne l'esprit de l'Homme Extérieur, c'est à dire de l'homme doté d'une âme qui n'a pas encore commencé le travail de construction de son centre magnétique qui lui permettra d'équilibrer et de fusionner ses trois centres inférieurs et d'établir une connexion permanente avec les centres supérieurs. Mouravieff écrit : Quand on demande à quelqu'un vivant sous cette pression constante de la vie contemporaine de diriger sa vision mentale vers lui-même, il répond généralement qu'il ne lui reste pas assez de temps pour se livrer à de telles pratiques. [...]S'il accepte, il dira dans la plupart des cas qu'il ne voit rien : brouillard; obscurité. De manière plus exceptionnelle, l'observateur indique qu'il perçoit quelque chose qu'il ne peut définir car cela change tout le temps. Cette dernière observation est correcte. En fait, tout change continuellement en nous. Un choc extérieur mineur, qu'il soit agréable ou désagréable, heureux ou triste, est suffisant pour donner à notre contenu intérieur une apparence complètement différente. Si nous suivons sans préjudice cette observation intérieure, cette introspection, nous remarquerons bien vite que notre « Moi », duquel nous sommes invariablement si fier, n'est pas toujours le même moi : le « Moi » change. Lorsque cette impression se précise davantage, nous commençons à mieux nous rendre compte qu'il n'y a pas qu'un être unique qui vit en nous, mais plusieurs, chacun ayant ses propres goûts, ses propres aspirations, et chacun essayant d'atteindre ses propres fins. Si nous continuons cette expérience, nous serons bientôt en mesure de distinguer trois courants au sein de cette vie en perpétuel mouvement : celui de la vie végétative des instincts, si l'on peut dire, celui de la vie animale des sentiments et finalement celui de la vie humaine dans le sens propre du terme, caractérisé par la pensée et la parole. C'est comme s'il y avait trois êtres en nous, tous extraordinairement enchevêtrés.
Ainsi, nous en venons à apprécier la valeur de l'introspection en tant que méthode de travail pratique nous permettant de nous connaître et d'entrer en nous-mêmes. Le contenu intérieur de l'homme est analogue à un vase rempli de limaille de fer se trouvant dans un état désordonné causé par une action mécanique. Chaque choc reçu par le vase engendre un déplacement des particules de limaille de fer. Ainsi la vie réelle demeure cachée pour l'être humain, par suite des changements constants qui se produisent dans sa vie intérieure. Malgré cela, comme nous le verrons plus loin, cette situation insensée et dangereuse peut être modifiée d'une manière bénéfique. Mais cela demande du travail; un effort consciencieux et soutenu. L'introspection, exécutée sans relâche, se traduit par une plus grande sensibilité interne. Cette sensibilité améliorée intensifie à son tour l'amplitude et la fréquence du mouvement à chaque fois que la limaille de fer est perturbée. Par conséquent, des chocs qui auparavant n'étaient pas détectés provoqueront maintenant de vives réactions. Ces mouvements, à cause de leur amplification continue, peuvent créer une friction entre les particules de fer tellement intense que nous sentirons peut-être un jour le feu intérieur s'allumer en nous. Le feu ne doit pas demeurer une flambée inoffensive. Comme il ne suffit pas non plus qu'il reste à l'état de braise, dormant sous la cendre. Un feu vivant et ardent, une fois allumé, doit être soigneusement entretenu par la volonté d'affiner et de cultiver la sensibilité. En continuant dans cette voie, notre état peut changer : la chaleur de la flamme entamera alors un processus de fusion en nous. A partir de ce moment, le contenu intérieur ne se comportera plus comme un tas de limaille de fer : il formera un bloc. Ainsi, de nouveaux chocs ne provoqueront plus de changement intérieur dans l'homme comme c'était le cas auparavant. Ayant atteint ce point, l'homme aura acquis une certaine fermeté ; il restera lui-même au milieu des tempêtes que la vie est susceptible de lui faire subir.
Ainsi nous voyons que l'idée selon laquelle il n'y a pas de soi unitaire est correcte du point de vue ésotérique. Seulement, nous allons plus loin que Dennett. Nous soutenons que la possibilité de créer ce « soi » existe et qu'approximativement 50% de la population de la Terre possède les ressources latentes pour pouvoir le faire. Ce travail nécessite d'être conscient de nos actions et de nos réactions ainsi que de faire la lumière sur nos « programmes », de façon à ce que nous puissions atteindre ce qui se trouve derrière, ce qui est occulté par les nombreux petits « moi », c'est à dire le « moi » unifié réel. Pour aller plus loin dans la description du fonctionnement de l'esprit scientifique tel que manifesté par un portail organique, nous disposons du texte suivant de Francis Heylighen, chercheur à l'Université Libre de Bruxelles et éditeur du Principia Cybernetica Project, « une organisation internationale pour le développement collaboratif d'une philosophie évolutionniste-systémique ». En tentant de nous convaincre de la validité de la théorie considérant l'esprit comme une machine, il dépeint cette situation même et par sa description, nous éclaire sur l'esprit et la nature d'un portail organique. Dans « Is there a Hard Problem of Consciousness », il écrit : Les expériences vécues à la première personne ou qualia sont essentiellement des expériences ou des sentiments subjectifs et personnels que chacun de nous éprouve (par exemple, la sensation de « rougeur » ou de « froid ») et qui ne peuvent être décrits par des mots, des formules, des programmes ou n'importe quelle autre représentation objective. Selon certains théoriciens de la conscience, tels que David Chalmers, un agent dépourvu de telles qualia serait simplement un « zombie », une créature ayant la possibilité de se comporter, d'avoir des sensations et de communiquer comme un être humain, mais à qui il manquerait l'aspect le plus crucial de la conscience. Le « problème difficile » de la recherche sur la conscience consiste alors à élucider la nature de ces expériences vécues à la première personne. Nous croyons que cette approche est pour l'essentiel dévoyée. Si le zombie hypothétique se comporte en tout point comme une personne dotée de conscience, alors le principe de l'identité des indiscernables nous forcerait à conclure que le « zombie » possède une conscience. Comment saurions autrement que les gens autour de nous ne sont pas des zombies ? Nous supposons qu'ils ont une expérience de la conscience similaire à la nôtre parce qu'ils se comportent en tout point comme nous. Mais si vous prenez ce raisonnement au sérieux, alors vous allez peut-être commencer à avoir des délires cauchemardesques dans lesquels vous êtes la seule personne réelle et consciente dans le monde, et que toutes les autres ne sont juste que des automates sophistiqués qui prétendent être comme vous.
Avez-vous déjà eu ce « délire cauchemardesque » que le monde est peuplé de zombies ? Et bien, devinez-quoi, ce n'est pas un délire. La moitié des gens sont exactement cela : « des automates sophistiqués qui prétendent être comme vous ». Son utilisation du terme « agent » est tout à fait appropriée (cela ne vous rappelle pas le film « Matrix » ?) pour désigner le type d'être programmé, « qu'il soit fait de chair et de sang ou bien de puces en silicone »... Il continue en disant : Les agents ne perçoivent pas le monde comme s'ils étaient des témoins impersonnels et objectifs essayant de former une représentation interne du monde tel qu'il est, indépendamment d'eux-mêmes. Pour un agent, une sensation n'a de sens que par son degré de correspondance avec les objectifs de l'agent, qui se résument en pratique à tout ce qui concerne sa survie individuelle.
Heylighen est en train de décrire l'esprit du prédateur. C'est étonnamment proche des scénarios réels de comportement et de la manière de penser du psychopathe tels que présentés par Cleckley dans son livre « The Mask of Sanity ». L'auteur conclue : La conscience n'est pas une substance mystérieuse, un fluide énigmatique ou une propriété étrange de la matière, mais un niveau d'organisation émergeant de relations et de processus abstraits. Les gens qui recherchent la conscience dans les particules élémentaires (une forme de panpsychisme qui a été suggérée comme moyen de s'attaquer au « problème difficile »), parce qu'ils ne peuvent concevoir autre chose pour expliquer de quelle partie du cerveau provient la conscience, sont dans l'erreur. Leur intuition est peut-être correcte dans la mesure où les particules, comme n'importe quel autre système, devraient être vues comme des relations plutôt que comme des amas de matière. Mais attribuer de la conscience à ces types de relations extrêmement simples n'est seulement qu'un moyen d'éluder le problème vraiment difficile, bien que soluble, de reconstruction de l'organisation cybernétique complexe de l'esprit humain dans tous ses détails et dans toute sa subtilité.
Ici, nous avons vu comment les Portails Organiques se voient eux-mêmes. Que les individus nommés ici soient des Portails Organiques ou non, n'est pas la question. Il se peut qu'ils soient des individus dotés d'une âme qui n'ont pas encore été capables de voir derrière le mensonge de la personnalité. Tant que cela ne se sera pas produit, les individus ayant une âme fonctionneront et verront le monde ainsi qu'eux-mêmes comme s'ils étaient des Portails Organiques. Mais il est clair que cette manière d'« expliquer » la conscience est limitée, n'expliquant que cette forme de conscience particulière manifestée par la Personnalité - l'homme extérieur. Cela peut décrire le fonctionnement du PO et de l'homme extérieur; cela ne peut rendre justice à la conscience du Chercheur engagé dans le travail de fusion en vue d'ancrer l'âme. Examinons ensuite la question de la créativité.Nous avons vu que le PO apprend par imitation. La théorie des « mèmes » formule l'hypothèse que les mèmes se répandent par imitation. Et les oeuvres d'art, les livres, la musique, les idées scientifiques, toutes ces formes de « création », sont simplement le fruit de la propagation des mèmes. Un « créateur » est quelqu'un qui prend des mèmes et trouve de nouvelles façons de les assembler, de les combiner et de les recombiner. Mais rien n'est jamais vraiment « créé ». C'est parce que le centre moteur du Portail Organique n'est pas capable de capter l'énergie des centres émotionnels et intellectuels supérieurs qui, pour lui, n'existent pas. Sa créativité en terme d'« amour » est limitée dans son expression à l'amour charnel. Mouravieff écrit : Il est important de se souvenir que, à l'exception bien sûr de l'homme adamique, toute créature prenant par à la Vie organique sur Terre, qu'elle dispose d'un centre pour sa psyché, de deux ou de trois comme dans le cas de l'homme du 6e jour [le portail organique], n'a seulement qu'un centre supérieur. En effet, au niveau du plan hylique, le centre sexuel est analogue aux centres émotionnels et intellectuels supérieurs, puisqu'il est, de par sa nature et sa structure, complet, c'est à dire indivisible. Sauf quand cette énergie est détournée par les trois centres de la Personnalité, le centre sexuel, dans sa fonction directe qui est l'amour charnel, a un but qui est bien défini par les mots : Croissez et multipliez. En d'autres termes, dans un organisme sain, ce centre, comme les centres émotionnels et intellectuels supérieurs, ne connaît ni le doute, ni l'hésitation, ni la tristesse, ce qui est tout à fait l'opposé de ce qu'éprouvent trop souvent les trois centres inférieurs... (Gnosis, Tome III, p. 143 [Traduit de l'anglais])
La fonction spéciale du centre sexuel chez les êtres dotés d'une âme est précisée ci-dessous par les Cassiopéens : Q: Est-ce que l'être humain possédant une âme se recharge à partir d'un réservoir similaire, sauf que, dans ce cas, peut-être s'agit-il du réservoir « humain » ? R: Non – il se recharge à partir du prétendu centre sexuel qui est en fait un centre supérieur d'énergie créative. Pendant le sommeil, le centre émotionnel, n'étant plus bloqué par le centre intellectuel inférieur et le centre moteur, convertit l'énergie provenant du centre sexuel. C'est aussi la période où les centres supérieurs émotionnel et intellectuel peuvent se reposer du « drainage » résultant de l'interaction des centres inférieurs avec ces embarrassants portails organiques si appréciés des centres inférieurs. Rien que ce répit est suffisant pour faire une différence. Mais surtout, l'énergie du centre sexuel est aussi davantage disponible pour les autres centres supérieurs. Q: Où est-ce que le prétendu « centre sexuel » va chercher son énergie ? R: Le centre sexuel est en contact direct avec la 7e densité sous la forme de la pensée créative « féminine », « Vous, j'aimerai ». L'« expir » de « Dieu » lors de la détente de la compression. Pulsation. Ondes de Gravité Instables. La véritable créativité vient de cette connexion avec la « 7e densité sous la forme de la pensée créative 'féminine', 'Vous, j'aimerai' » en conjugaison avec les centres émotionnels et intellectuels supérieurs. Ainsi l'individu doté d'une âme est capable de « créer », c'est à dire de produire quelque chose de nouveau à travers sa pensée et sa connexion avec la 7e densité. C'est un processus profond car il nous lie directement au créateur, à l'Unique. Le portail organique, quand il cherche à définir cette impulsion créatrice véritable, est obligé de se rabattre sur l'idée de mème, d'imitation. Regardez comment Dennett décrit l'acte créateur : C'est une nouvelle façon de penser à propos des idées. J'espère montrer que c'est aussi une bonne façon, mais au début, la perspective qu'elle apporte est carrément dérangeante, voire même effrayante. Nous pouvons la résumer par le slogan suivant : Un érudit n'est que le moyen qu'emploie une bibliothèque pour créer une autre bibliothèque. Je ne sais pas pour vous, mais je ne suis pas spontanément attiré par l'idée que mon cerveau soit une sorte de tas de fumier dans lequel les larves d'idées des autres gens peuvent se régénérer, avant d'envoyer des copies d'elles-mêmes au cours d'une Diaspora de l'information. Cela semble carrément priver mon esprit de son importance, à la fois en tant qu'auteur et critique. Qui dirige, selon cette approche – nous ou nos mèmes ? Bien sûr, il n'y a pas de réponse simple à cette question. Nous aimerions nous considérer comme des créateurs divins d'idées, les manipulant et les contrôlant selon notre bon vouloir, et les jugeant à partir d'un point de vue olympien, en toute indépendance. Mais même si c'est notre idéal, nous savons que c'est rarement, voire jamais le cas, même avec les esprits les plus brillants et les plus créatifs. Comme Mozart l'a observé au sujet de ses propres inventions : « Quand je me sens bien et que je suis de bonne humeur, ou quand je me promène à pied ou en calèche après un bon repas, ou alors la nuit quand je n'arrive pas à dormir, des pensées envahissent mon esprit aussi facilement qu'il vous est permis de l'imaginer. D'où et comment me viennent-elles ? Je ne le sais pas et je n'ai rien à voir là-dedans. Celles qui me plaisent, je les conservent dans ma tête et je les fredonne; du moins, d'autres m'ont dit que c'est ce que je fais. » [emphase ajoutée]
Mozart n'est pas le seul. Rares sont les écrivains qui ne revendiquent pas des personnages qui « prennent vie tout seuls »; les artistes confessent volontiers que leurs peintures prennent le dessus et se peignent elles-mêmes et les poètes annoncent humblement qu'ils sont les serviteurs ou même les esclaves des idées qui bouillonnent dans leur esprit, et non les maîtres. Et nous pouvons tous citer des cas de mèmes qui persistent dans nos esprits sans y avoir été sollicités et sans être pleinement reconnus. Examinons la question de savoir d'où viennent les idées créatrices. Dans l'Homme Extérieur, c'est à dire chez l'individu doté d'une âme qui n'a pas encore commencé le travail de formation du centre magnétique, il existe une connexion, bien que voilée, avec les centres supérieurs. Parce qu'elle est voilée, les « idées » qui arrivent à percer le voile apparaîtront comme « venues de nulle part ». Il se peut qu'elles soient vraiment des actes créateurs, cependant la personnalité n'est pas consciente de cela. L'arrivée d'un mème dans l'esprit du portail organique semblera aussi « venir de nulle part », mais dans ce cas, aucun voile n'aura été percé, aucun centre supérieur ne l'aura nourri. Parce que le PO et l'individu doté d'une âme qui n'a pas encore commencé le travail ésotérique décrivent les mêmes caractéristiques extérieures d'un événement – l'acte « créateur » – ils peuvent très bien confondre l'acte créateur véritable avec la simple propagation du mème. Ainsi, la « création », notre connexion avec la « 7e densité sous la forme de la pensée créative “féminine”, “Vous, j'aimerai” », est réduite à une simple imitation et est vidée de son expression d'Amour. Si tout acte créateur est une expression d'Amour, et que tout acte d'imitation ne l'est pas, nous pouvons voir clairement que nous vivons dans un monde sans amour. Identifier les PO Ayant pris conscience qu'il a 3 milliards de Portails Organiques dans le monde, la discussion au sein de la Quantum Future School a débouché sur la question de leur identification. Ce n'est pas une question facile puisque leur talent premier est d'imiter, de singer. Comme nous l'avons vu dans la section décrivant quelle est leur place dans le monde Organique, c'est à travers l'imitation qu'ils sont en mesure de commencer le processus de développement de leurs âmes. Cette capacité à singer doit par conséquent faire partie intégrante de leur caractère. Pour progresser, ils doivent être bons dans cette pratique. Cela implique que les « meilleurs » PO seront les meilleurs imitateurs, ceux qui seront les plus aptes à imiter le fait d'« avoir une âme ». Cependant, la structure interne du PO est dépourvue de centres supérieurs, n'ayant que les trois centres inférieurs qui forment la Personnalité (le « Moi » des petits « Moi »), le « Moi » du corps ainsi qu'un centre sexuel coupé des autres centres supérieurs. Un examen du passage suivant de Mouravieff donne des indications montrant comment une étude attentive de la dynamique interne des gens peut permettre de séparer le « bon grain » de l'« ivraie ». L'homme adamique, qui n'a pourtant que vaguement conscience de son « Moi » véritable, trouve que c'est une source de conflit interne qu'il ne peut résoudre sur un plan purement humain. Ce conflit devient plus aigu à partir du moment où il entre activement dans le travail ésotérique. C'est à ce moment là qu'il commence à être faible et devient la proie de l'incertitude, du doute et du manque de confiance envers lui-même car le chemin qui conduit à la Vérité passe toujours par le doute. Durant ce travail, nous avons été témoins plusieurs fois de la somme considérable d'efforts et d'efforts extraordinaires qui sont exigés de l'homme adamique qui, après avoir reconnu sa place dans la vie, traverse résolument le Premier Seuil et gravit l'escalier pour atteindre et franchir le Second Seuil avec à clé, la Rédemption promise. (Gnosis, Tome III, p. 131-132 [Traduit de l'anglais])
Donc, le premier signe indiquant la présence d'un Portail Organique est une absence de « conflit interne et du doute qui en résulte ». Il y a des gens qui ne doutent jamais de leurs pensées ou de ce qu'on leur a dit ou encore de ce qu'ils ont choisi de croire. Peu importe les circonstances, les échecs ou les contretemps, ces gens ne sont pas assaillis par des interrogations personnelles ou par des questions concernant le système. Combien d'entre vous lisant ce site avez été incités à le faire à cause d'un sentiment de conflit ou de doute à propos de la nature des choses et qu'une intuition ou un savoir inné suggérait ? Le personnage de Morphéus résume cela plutôt bien dans The Matrix : « Tu es ici parce que tu sais quelque chose... » Un PO n'éprouve pas ce conflit interne, il ne réagit pas aux données indiquant qu'il y a « quelque chose de plus dans la vie » que l'existence matérielle. Mais même si un PO n'est pas assailli par ce type de doute, il subit ou peut subir une forme de conflit basé sur la personnalité. Mouravieff l'explique dans le passage suivant : Les hommes pré-adamiques ne sont pas sujets à ces crises d'angoisse et ces conflits intérieurs permanents; ce n'est pas qu'ils vivent dans une paix parfaite, ou qu'ils ne soient jamais perturbés par des conflits – loin de là – mais dans la plupart des cas, leurs conflits se passent à l'intérieur de la personnalité, entre les différents groupes de petits « Moi » qui sont à l'origine de ces conflits. Il en résulte que le caractère de ces conflits est purement psychique et qu'ils sont généralement résolus par une sorte de compromis. Les conflits plus sévères survenant chez l'homme pré-adamique se produisent entre le « Moi » de la personnalité et le « Moi » du corps. Nous avons longuement couvert le sujet dans le tome II de Gnosis, en insistant sur le fait que le « Moi » du corps prend généralement le dessus sur la Personnalité faible et changeante, qui capitule sans livrer de combat véritable chaque fois qu'il est question de satisfaire l'estomac ou les appétits sexuels. Une justification est alors recherchée dans des slogans tels que ceux qui nous permettent de penser qu'il est normal d'« agir comme tout le monde » ou dans un écheveau de raisons paradoxales qui ne sont que des mensonges que l'on se fait à soi-même. (Gnosis, Tome III, p. 132 [Traduit de l'anglais])
Les conflits intérieurs du Portail Organique ne portent pas sur sa relation au monde du point de vue de son « Existence » fondamentale dans ce monde. De telles questions ne peuvent le préoccuper, car elles surviennent sous l'influence du « Moi » réel. Il ne peut y avoir de contradiction entre le Portail Organique et son Existence dans ce monde parce qu'il fait pleinement PARTIE de ce monde ; il en est l'expression sur le plan matériel. L'individu doté d'une âme, est cependant différent, ayant « chuté » dans ce monde et ne gardant qu'un souvenir des mondes supérieurs provenant de son « Moi » réel. La tension entre ce « r-appel » de sa vraie nature exercé par le « Moi » réel et la nature déchue de sa Personnalité, est ce qui crée les conditions pour le chauffage du creuset lorsque les deux entrent en conflit. [Le conflit décrit dans les textes alchimiques, les épreuves du Chevalier dans sa Quête du Graal.] Mais les conflits intérieurs de l'homme adamique, qui entame souvent le travail ésotérique parce qu'il a atteint la dernière extrémité de la faillite morale, ne peuvent être résolus par des compromis, car il n'y a pas de place pour ce genre de solution dans la conscience du « Moi » réel duquel il reçoit les appels. En lui, c'est l'ensemble formé par la Personnalité entière et le « Moi » du corps, un ensemble qui, directement ou indirectement, est souvent contraint à agir sous la direction du centre sexuel, qui fuit la voix de la conscience, c'est à dire la voix du « Moi » réel. Il a alors le choix : ou bien il obéit à son « Moi » réel et triomphe sur lui-même, ou bien il fuit ce combat invisible pour se réfugier dans des illusions puissantes et apaisantes offertes par une vie passée à se mentir. Dans tous les cas, si l'homme adamique triomphe sur lui-même, lui permettant ainsi de résoudre le conflit interne du moment, cela impliquera alors inévitablement une modification de son attitude envers la vie extérieure. Généralement, cela se soldera par un conflit avec ses proches, à moins que ces derniers ne le suivent pas à pas dans son évolution ésotérique, ce qui est rare. Cela ne veut pas dire que ceux qui sont proches et chers à ses yeux lui souhaitent du mal; au contraire, c'est pratiquement toujours son bien qu'ils ont en vue : le conflit survient simplement de leurs différentes vues au sujet de ce qui est réel. Si ceux qui entourent l'individu en question sont pré-adamiques, ils ne pourront jamais être d'accord avec lui, étant incapables de comprendre les raisons de ce changement d'attitude et dans l'incapacité de saisir la nature du but qu'il poursuit. Ils deviendront automatiquement les instruments de la Loi Générale qui fait en sorte que ceux qui s'écartent du droit chemin soient ramenés au bercail. C'est ainsi que « l'homme aura pour ennemis les gens de sa maison » (Ibid.)
Mouravieff décrit la situation rencontrée par le Chercheur, mais fait seulement allusion à l'activité du Système de Contrôle quand il mentionne la « Loi Générale » ou alors les influences « A ». Les Cassiopéens ont dit dans la session citée plus haut, que « le Système de Contrôle va chercher à insérer encore plus d'“unités” dans la vie de cette personne. » Nous avons vu aussi comment le rôle naturel du Portail Organique a été détourné par les SDS de 4e densité. Il en découlerait que les problèmes provenant des différences de conception au sujet de ce qui est réel seront utilisés, amplifiés et alimentés dans des proportions défiant l'imagination par les activités délibérées des contrôleurs alors qu'ils cherchent à se nourrir eux-mêmes et à empêcher le Chercheur d'avancer sur la Voie. L'homme pré-adamique ne peut être sujet à des conflits intérieurs ou familiaux de ce genre. Il reçoit rarement d'influences « B ». S'il pressent vaguement leur existence, elles ne lui apparaissent seulement comme une curiosité à ses yeux et n'ont pas le pouvoir de le perturber jusqu'aux tréfonds de sa psyché. En lui, le centre sexuel règne en maître, que ce soit par son action directe, qui prend la forme de l'amour charnel, ou par une action « psychologique » indirecte de la psyché à laquelle se soumet la Personnalité. Comme celle de l'homme adamique, sa Personnalité contient trois centres inférieurs, mais c'est tout ce qu'il y a. Tout aussi sous-développée et déséquilibrée, mais protégée des troubles occasionnés par les influences « B », cette Personnalité vit et agit en obéissant aux injonctions du centre sexuel. Rien en lui ne résiste à ce dernier, qui est connu dans la langue contemporaine sous le nom de tempérament. Dans l'arène de la vie « extérieure » de la société humaine, dominée par les influences « A », l'homme adamique qui a franchi le Premier Seuil s'avère plus faible que sa contre-partie pré-adamique [...]; et plus grande est la force qu'il acquiert au cours de sa progression dans l'escalier, plus grande est sa faiblesse lorsqu'il est confronté à la vie. (Gnosis, Tome III, p. 132 [Traduit de l'anglais])
Ce dernier commentaire livre un autre indice. L'être pré-adamique est DANS son environnement d'une façon que ne partage pas l'être adamique. Le monde avec ses influences « A » exerce une grande attraction. L'activité du centre sexuel vise à obtenir de la satisfaction dans un monde de plus en plus tourné vers la sexualité par le biais des médias et d'un étalage d'imagerie sexuelle. Le « Moi » du corps peut exister joyeusement au niveau d'une existence animale élémentaire gouvernée par les centres inférieurs, mais ce n'est pas possible pour le « Moi » véritable en cours de développement durant le processus d'activation des centres supérieurs. Et dans tout cela, l'être dépourvu d'âme n'éprouve pas d'inconfort, à moins qu'il ait subit accidentellement le lavage de cerveau de l'Église, etc., prévu pour contrôler ceux qui ont une âme. Nous voyons également que le portail organique ne réagira pas aux « influences B » (qui sont le signe d'une réalité plus grande ou spirituelle) quand elles s'immiscent dans sa vie quotidienne, mais il cherchera plutôt à les écarter rapidement. La question de l'identification des PO a également conduit à des échanges d'idées supplémentaires entre les membres de la Quantum Future School. J: D'accord, mais tout de même, il y aurait bien davantage de preuves de cela dans nos interactions avec les gens, quand même, ils sont 3 milliards ! L: Il y a beaucoup de preuves. Mais nous sommes programmés par le système, à travers les PO pour, soit percevoir de travers, soit mal interpréter, soit simplement refuser de croire aux preuves objectives. D'une manière générale, il est également clair que, dans nos interactions avec eux, ce sont eux qui dominent. Regardez l'état du monde d'aujourd'hui. Ce sont eux qui dirigent le spectacle. Et parce qu'ils ont agi en qualité de « portails » pour les manipulations des SDS de 4e densité (faut que tu lises cet « opérateurs et autres » pour voir comment tout cela fonctionne !), ce que nous voyons dans notre monde correspond exactement à ce que veulent les SDS de 4e densité. Là encore, souviens-toi de ce que les Cassiopéens ont dit : les meilleurs d'entre eux sont TELLEMENT bons qu'il est presque impossible de les identifier. Et c'est exactement ce que nous essayons de formuler ici : comment les identifier ???? Comment arrêter de « danser » avec eux afin de conserver suffisamment d'énergie pour développer notre conscience afin de pouvoir mieux VOIR l'invisible, afin de pouvoir être colinéaire avec d'autres qui voient... Afin que nos fréquences puissent mutuellement et réciproquement commuter... Afin qu'il y ait suffisamment de « levain » pour faire lever le pain tout entier au moment de la « séparation des univers », guidant notre trajectoire vers la réalité SDA de la 4D. Ou du moins, à ce qu'il paraît. H: Nous avons appris que les « meilleurs » PO sont vraiment, vraiment très difficiles à identifier, même après une longue période d'examen. Sans compter le fait que, dans les milieux où la plupart d'entre nous évoluent, il soit possible qu'il y ait une prépondérance des meilleurs d'entre eux. Je suppose que les gens sur cette liste sont plutôt bien éduqués, ils ont accès à Internet, ils lisent régulièrement (rien que cela nous distingue de la plupart des gens ces jours-ci) et nous lisons des choses plus riches qu'un roman de Danielle Steele. En toute probabilité, nous ne passons pas beaucoup de temps avec des gens qui vivent en face de la TV. Et si les gens de notre entourage agissent de cette manière, alors nous penserons qu'ils sont « comme nous ». Mais considérez le fait que des gens comme Dawkins et Sagan sont/étaient très probablement des PO. Qu'est-ce qui dans leur vie quotidienne vous ferait dire qu'ils étaient des PO ? Ils se sont mariés, ont eu des familles, ont vécu des vies qui sont un « modèle » pour notre société. Et cela nous donne peut-être bien un indice. Nos modèles de « vie » sont probablement basés sur la vie « parfaite » du PO. Donc quand nous établissons une comparaison, nous sommes peut-être en train de comparer des PO à des modèles de PO. Bien sûr, il est difficile d'y voir clair ! Nous avons fait de l'existence sans-âme des PO la « norme ». Peut-être que ce sont les individus dotés d'une âme qui seront les plus faciles à voir; ils vont sortir du lot parce qu'ils se tordent de douleur. L: Oh, excellente remarque ! Et juste au moment où tu étais en train d'écrire cela, je lisais quelques idées chez Cleckley qui permettent de vraiment comprendre pourquoi il n'arrivait pas à saisir complètement le problème... Il utilisait des modèles de psychiatrie pour essayer de formuler ce qui « n'allait pas » chez le psychopathe... Et ces modèles sont pour l'essentiel erronés – ils sont créés par des PO ! Il ne faut pas s'étonner que le pauvre type se rendait fou en essayant d'élucider cela. Tous les modèles psychiatriques disent que le psychopathe est le plus sain des individus. Ils disent que les gens qui sont paranoïaques – même s'ils réussissent partout ailleurs dans leur vie – DOIVENT être profondément psychotiques – même si les choses qui les rendent « paranoïaques » sont possibles et non absurdes, et même explicables en des termes logiques. Voyez-vous à quel point le système est intelligemment conçu ? Il est conçu pour établir comme fait incontournable que toute personne suggérant une réalité plus « profonde » est fou – ou sous l'emprise d'une secte – ou victime d'hallucinations - ou psychotique – etc... Mais les PO – ceux qui ne sont pas défectueux, de sorte que leurs machines ne se mettent pas à dérailler comme dans le cas des psychopathes – dans leur ferme engagement à ne considérer comme réalité VÉRITABLE que ce qui peut être pesé et mesuré, sont les arbitres de notre existence. Qu'est-ce que les Cassiopéens ont dit ? Les SDS vénèrent l'univers physique. Pour cette orientation, c'est vraiment tout ce qui compte – la matière. Et, bien sûr, leur extrême dévotion envers elle garanti que ce qu'ils adorent, ils le deviendront... de la matière primitive. J: Donc l'idée, c'est que les 3 milliards de PO sont fondamentalement identiques aux sujets psychopathes que Cleckley décrit, en ce qui concerne l'absence de vrais sentiments, d'intuition, de la capacité à « lire entre les lignes », de la notion d'âme associée à leur être, mais ils sont simplement trop bons à imiter ces qualités pour que l'on puisse distinguer la différence et ils ne possèdent tout simplement pas les défauts qu'ont les psychopathes ? L: À ce qu'il semblerait. Et nous avons commencé à les étudier dans ce qu'ils avaient de vraiment « défectueux », là où le « masque de bonne santé mentale » n'était pas suffisamment bien ajusté. Nos interactions avec eux, racontées dans la série Aventures cassiopéennes et dans d'autres récits, nous ont éveillés à cette réalité de manière brutale. Après un certain temps, nous avons réalisé qu'il se produisait dans le domaine du Nouvel Âge quelque chose qui allait bien au delà des mensonges flagrants, du vol et de la corruption spirituelle générale. Puisque nous avons quelques cliniciens psychologues dans l'école, il y a eu pas mal de discussions en dehors de la liste à propos des dynamiques possibles et cela a conduit à l'idée de psychopathie. Bien sûr, les travaux les plus accessibles sur le sujet ont à voir avec les études de Hare sur les psychopathes en prison. Cela ne « collait » pas tout à fait. Oui, les mensonges ordinaires, pour lesquels aucun d'eux ne semble éprouver de honte même lorsqu'ils sont démasqués avec preuves à l'appui, étaient bien présents. Oui, la « fabrication » complète de leur version de la réalité était bien là. Oui, il était évident qu'absolument aucune empathie véritable n'était présente – ils pouvaient produire de grands discours à propos de leur désir d'aider les enfants, de leurs « activités philanthropiques » et de leurs oeuvres de charité, etc. Pour ensuite retourner leur veste et fomenter un complot visant à exposer nos enfants au danger en volant et en publiant des informations très personnelles ainsi qu'en écrivant publiquement à leur sujet d'une manière calomnieuse et diffamatoire. C'est une chose pour eux que d'être hostiles envers nous, notre travail et notre groupe, ajouter à cela le fait qu'ils étaient fous de rage parce que nous ne les avons pas autorisés à se servir de nous pour détruire notre travail ou pour l'utiliser dans leur propre intérêt financier. C'était une chose complètement différente que de mettre nos enfants en danger délibérément et avec l'intention vicieuse de nous faire du mal à travers de telles manoeuvres. Ce qui était encore plus intéressant, c'était la nature complètement irrationnelle de leurs attaques. D'un côté, ils nous accusaient d'être une secte et de faire un maximum d'argent sur le dos des lecteurs de notre site. Et dans le même temps, ils écrivaient des mensonges, racontant que nous vivions dans des conditions sordides, que nos enfants étaient sales, couverts de vermine et souffraient de Dieu sait quoi d'autre. La seule chose qui était claire à propos de ces attaques – basée sur nos rapports personnels avec M. Most – c'était que la raison principale de leur colère s'expliquait par le fait que nous avions été leur proie – ils nous avaient vus comme un moyen rapide pour toucher le pactole en vendant leurs séminaires et leurs livres à nos lecteurs, faisant en sorte, dans le même temps, d'enterrer notre propre travail. Et quand nous avons vu clair dans leur jeu et refusé d'être leur proie – c'était comme la fureur d'un prédateur qui voit son dîner lui échapper. Donc, voilà où nous en étions, les observant alors qu'il écrivaient publiquement des articles pleins de bonnes intentions, respirant la sympathie et la crème de la gentillesse humaine – alors que dans le même temps ils nous calomniaient, nous diffamaient et essayaient – par derrière - de détruire notre travail et notre famille. Et quand nous avons publié les FAITS – témoins et preuves à l'appui – ils les ont simplement balayés d'un revers de main et ont prétendu que c'était NOUS qui mentions. C'était renversant pour moi de voir une telle conduite. Je n'arrivais tout simplement pas à concevoir des être humains ne possédant littéralement aucune empathie, n'éprouvant aucune honte et n'ayant absolument aucune éthique. Surtout qu'ils arrivaient si bien à donner l'impression qu'ils possédaient ces qualités et qui plus est, ils ont été capables de convaincre d'autres gens qui ont simplement cru à tout ce qu'ils ont raconté sans faire de vérification et sans poser de questions. Je suis sûre qu'ils ont misé sur la paresse de leurs lecteurs. Donc, c'était notre étonnement, notre perplexité au sujet de leur comportement qui nous ont conduits à mener l'enquête. S'ils s'étaient comportés comme des « êtres humains normaux » - comme sont supposés agir des êtres humains normaux et honnêtes – plus spécialement de la part de ceux qui prétendent être des chercheurs de connaissances supérieures bien informés - nous n'aurions jamais suivi les pistes qui ont conduit aux révélations que nous avons présentées sur le site. Et alors que notre perplexité grandissait, que nous creusions plus profondément, nous avons commencé à nous rendre compte qu'il y avait beaucoup plus dans cette énigme que ce que les apparences suggéraient. À un certain point, nous avons réalisé que les caractéristiques du psychopathe étaient comme des caricatures - grossières et voyantes. Oui, nous avons certainement repéré ces caractéristiques dans les actions de ces gens, mais l'idée agaçante que ce sont des choses que nous avons observées chez d'autres personnes plus « normales » qui n'ont jamais commis les choses horribles que feraient disons Ira Einhorn, O.J. Simpson ou même Maynerd Most, ne voulait pas s'en aller. Donc, nous avons abordé un autre domaine d'étude : Cleckley. Et en effet, il parle bien de psychopathes qui n'ont jamais « dépassé les bornes » d'un point de vue social. Ils ont réussi et sont docteurs, avocats, voire même psychiatres... Ce que nous suspectons maintenant, c'est qu'il existe un aspect encore plus caché concernant ce sujet : le Portail Organique efficace et performant. Le masque de bonne santé mentale PARFAIT. Mais plus encore : le masque de conscience parfait.
Si nous acceptons, comme le décrit Mouravieff, que le Portail Organique a la possibilité de progresser dans sa propre évolution au cours du cycle prochain, évoluant de pré-adamique à adamique, et si nous admettons aussi que le cycle courant arrive bientôt à son terme, on a alors la possibilité suivante : nous vivons durant la période où un certain nombre de PO ont réussi à imiter l'être doté d'une âme de manière si réaliste et si développée, qu'ils ne peuvent revenir qu'en tant qu'êtres adamiques. Ils ne peuvent évoluer davantage à l'intérieur de leurs corps actuels. Cela oblige le Chercheur à développer sa capacité à discerner, à l'affiner continuellement afin de « voir » des degrés de manipulation de plus en plus subtils se produisant autour de nous et envers nous. Cela chauffera le creuset à des températures de plus en plus hautes, créant en retour les conditions de la libération. En résumé Rassemblons les différentes pièces du puzzle pour voir le tableau d'ensemble qui illustre notre situation actuelle. En « recherchant l'or », c'est à dire en désirant faire l'expérience de la sensation physique, notre unité de conscience chuta de son état de « grâce », c'est à dire d'une existence de 3e densité SDA se trouvant « à demi / en quelque sorte » dans un état de 4e densité aligné sur la 4e densité SDA, pour tomber dans un monde SDS de 3e densité déjà peuplé par une race anthropoïde qui servait de portails organiques, de pont reliant la 2e densité à la 3e densité. Ayant chuté, et perdant ainsi la conscience de sa connexion avec les centres supérieurs, la race des êtres dotés d'une âme était, vue de l'extérieur, en tout point identique à la race anthropoïde. Ils différaient seulement par leur potentiel à se reconnecter aux centres supérieurs en développant le centre magnétique. L'ADN qui a pour fonction d'ancrer ces centres supérieurs a été brûlé – déconnecté et dispersé dans la structure cellulaire. Cependant, la capacité de le recouvrer demeure. Ce monde de 3e densité SDA dans lequel l'homme adamique s'est « réveillé » n'était pas son habitat naturel. C'est le monde des anthropoïdes, des marionnettes de chair, des morts qui se croient vivants, le monde du portail organique, un monde de matière et d'explications matérielles au sujet de l'existence. C'est une ferme dirigée et contrôlée par les SDS de 4e densité pour leur fournir leur nourriture. C'est le monde des trois centres inférieurs et d'un centre sexuel confiné au rôle de procréation à travers l'amour charnel. C'est un monde organisé sur la base de la faim, du sexe et de la peur. La race des êtres dotés d'âmes est venue dans ce monde et s'est intégrée en se reproduisant avec la race autochtone jusqu'à ce que le patrimoine génétique devienne complètement mélangé. Maintenant, les deux races sont tellement mélangées que l'on peut trouver les deux au sein d'une même famille. En outre, les modèles que l'on nous enseigne et que nous sommes forcés d'internaliser sont basés sur l'habitant « naturel » de ce domaine, le portail organique. Ainsi, les explications matérielles constituent la norme. La vie intérieure du portail organique, coupée des centres supérieurs, est la « norme ». Devrions-nous alors être surpris de vivre dans un monde de plus en plus « mécanique », qui traite les individus en tant qu'« unités », où la « créativité » consiste à reproduire des idées existantes comme dans une chaîne de production, où les notions de « franchise » et de « marque » sont si importantes dans le monde économique, où la démocratie est un test à choix multiples effectué à quelques années d'intervalle plutôt que l'apport créatif d'individus dans l'organisation de leurs vies, où les gens qui « voient » d'autres êtres, d'autres mondes, sont expédiés dans des camps de prisonniers pour personnes « perturbées mentalement », où la culture consiste en des copies sans fin du même produit avec de légères modifications pour faire croire au consommateur qu'il s'agit de quelque chose de « nouveau » et de « révolutionnaire ». Et la liste continue. Et tout est organisé pour VOUS empêcher d'avancer, pour VOUS distraire, pour que VOUS restiez préoccupés par votre mari, femme, mère, père, fille, ou fils que vous n'avez pas les moyens de « sauver » parce qu'ils ne peuvent pas être « sauvés » - ils sont fondamentalement différents de vous, ils ne possèdent pas l'ADN qui autoriserait une âme à « s'ancrer » afin de leur permettre de comprendre la possibilité d'une vie supérieure. Pire, ils vous vident de votre énergie vitale et vous privent ainsi de toute possibilité de développer votre centre magnétique, cette énergie ayant pour destination finale la 4e densité SDS. Cela nourrit et maintient la Matrice. Dans ces interactions, vous n'êtes rien d'autre qu'une batterie et les portails organiques dans votre vie en sont les « tubes d'alimentation ». Vous avez besoin de cette énergie pour avancer. C'est la vôtre et c'est votre droit de la réclamer et de la conserver. Mais pour ce faire, vous devez arrêter cette « danse de la mort » avec les portails organiques dans votre vie. Laura a souligné l'importance de cette idée dans un message aux membres de la Quantum Future School: Q: Donc, basé sur ce que vous avez dit, je suis en train de me dire que chercher une « différence catégorique » entre les PO et les individus dotés d'une âme pourrait être accompli en pratique plus facilement en apprenant à « voir » les individus dotés d'une âme, comme vous le dites. Bien sûr, cela est rendu plus compliqué par le fait qu'il existe AUSSI des candidats pour la 4e densité SDS dotés d'une âme et que les actions SDS des candidats SDA viennent également embrouiller la situation. L: Oui. Et nous pourrions peut-être penser que les individus dotés d'une âme sont ceux qui « souffrent » d'une façon ou d'une autre. Et certains de ceux qui souffrent le plus seraient susceptibles de « s'extérioriser » et d'être considérés comme « fous » ou autres parce qu'ils ne peuvent simplement pas s'adapter à la vacuité de la vie SDS de 3e densité. Mais bien évidemment, parce qu'ils ont aussi une forte impulsion à créer/se développer-survivre, ils apprendront peut-être à rentrer dans le moule, à « jouer le jeu », à « faire ce qu'il faut ». Dans ce cas, ils vivront leur désespoir en silence. Et ils peuvent être programmés tellement tôt que la force de leur âme est alors canalisée dans des « systèmes de croyance », afin que, comme cela a été indiqué, l'énergie de leur âme puisse alimenter et soutenir la Matrice. En fait, je pense que c'est ce qui se passe d'habitude et que c'est même le but de toute l'opération. Q: Humm... Pourquoi avons-nous spécialement besoin d'identifier les PO ? L: Parce qu'au final, « danser avec eux » - ou être intimement liés à eux – ou ne pas avoir conscience de la nature véritable de nos interactions avec eux – est ce qui nous maintient vidés de notre énergie et nous rend incapables d'atteindre une fréquence de passage suffisante. SI – et c'est un un grand « si » - nous pouvons réellement et véritablement interagir avec eux sans qu'ils drainent notre énergie alors tout est très bien. Mais en toute probabilité, on ne peut le faire qu'à partir du moment où l'on peut vraiment VOIR – et nous ne pouvons VOIR qu'à partir du moment où nous avons suffisamment d'énergie pour le faire... Et nous ne pouvons avoir l'énergie pour le faire tant que nous « dansons » avec les PO dans nos vies. Le serpent se mord la queue. Vous ne pouvez les voir tant que vous continuez à interagir avec eux. Et vous ne pouvez pas arrêter d'interagir avec eux tant que vous ne pouvez pas les voir. Donc, vous devez découvrir les indices qui révèlent le programme – « expérimenter » et surveiller les « réactions » de la Matrice – et faire des choix basés sur des données des plus ambiguës. Si votre décision est correcte, cela se traduira par une économie d'énergie suffisante vous permettant de voir que votre décision était la bonne ! Q: Peut-être que pour nos fins, il vaut mieux dès maintenant se concentrer sur les influences « A » et les influences « B ». L: A vrai dire, la détermination de la nature de nos relations EST le processus même de discernement des influences « A » et des influences « B ». C'est le travail le plus important que nous puissions faire. Nous ne pouvons rien accomplir d'AUTRE tant que nous n'avons pas fait ce travail en premier. Il faut que les efforts aillent dans le même sens. Vous ne pouvez pas servir deux maîtres à la fois. Q: Au lieu de chercher à classer définitivement les cas les plus subtils de PO, peut-être vaut-il mieux se focaliser sur l'évaluation en nous de la quantité d'énergie qui est drainée au cours de chaque interaction. Je pense que c'est faisable. Et à mon avis, c'est la distinction cruciale qu'il convient de faire. Je pense que pour l'essentiel, c'est ce que nous faisons déjà... L: En effet. Et quand nous discernons que notre énergie est en train d'être drainée au cours d'une interaction... Nous sommes alors face à une situation très difficile, surtout si le PO dans nos vies est du genre à ne pas être ouvertement « défectueux », si l'on peut dire. Il peut être du genre « toutou », très agréable à vivre la plupart du temps, bien qu'étant exigeant et fatiguant. Par exemple : si nous sommes dans une relation où nous sentons que nous « avons besoin de partir de temps en temps pour nous recharger » ou quelque chose de ce genre, mais que pour le reste, nos rapports sont satisfaisants, nous avons peut-être à faire à un PO qui est très subtil et très bon pour ce qui est de drainer notre énergie. Cela peut prendre des années avant de réaliser que nous n'allons vraiment nulle part en terme de croissance spirituelle, même si nous parvenons tant bien que mal à « maintenir la tête hors de l'eau » à l'aide de nos « portes de sortie » habituelles ou d'autres mécanismes de compensation que nous développons dans nos relations.
Nous sommes très heureux de travailler dans le but de laisser la planète Terre de 3e densité SDS à ses habitants d'origine. Cela doit être aussi difficile pour eux que pour nous de continuer à cohabiter dans le même monde en ayant de tels points de vue diamétralement opposés sur la manière dont fonctionne l'univers et sur la direction dans laquelle nous devrions travailler. Nous leur souhaitons de réussir dans le prochain Cycle. Traduction française: Sylvain G. |
2 commentaires:
Merci sincère à l'auteur de cette lecture. Sachez juste qu'elle est arrivé à point.
Elle me fait un grand bien et m'encourage à poursuivre mon éveil.
Elle me rassure aussi beaucoup quant à ma propre perception de mon état mental.
Elle m'aidera, j'en suis certain à mieux utiliser mon énergie en l'avenir.
Merci encore
Dann, Trois-Rivières
Il a des choses que l'on sent tous, mais qui sont difficiles à mettre en mots. Je suis aussi reconnaissant envers l'auteur de cet article. Si on ne s'arrête pas seulement aux mots, mais bien aussi à ce qu'ils essaient de décrire, il est facile d'y voir un bon fond de vérité. Je ne sais pas si je l'aurais expliquer exactement comme ça, mais cette explication est fascinante et aide à définir la différence d'empathie que les humains ont envers leurs prochains.
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LNI
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